Je prends quelques jours de vacances pour lesquelles j’espère le soleil. 
A bientôt.

Restez au sec  

Prendre le bac à lauréat

La détresse d’Elena Congost, marathonienne malvoyante espagnole : « Ils m’ont disqualifiée pour avoir été humaine et avoir aidé mon guide »
L’athlète espagnole, qui a terminé en troisième position du marathon de la catégorie T12, dimanche, a perdu sa médaille de bronze pour avoir lâché la cordelette la reliant à son guide, qui allait tomber au moment de franchir la ligne. ( Le Monde )

Les autorités disciplinaires du sport ont enfin atteint le niveau zéro de l’intelligence avec cette triste histoire à l’arrivée du marathon para olympiques. Des types bien assis sur leurs pouvoirs se sont montrés indignes de la confiance des athlètes en essayant d’appliquer une règle imbécile. Je reste attentif devant les protestations de la marathonienne disqualifiée sans motif au passage de la ligne d’arrivée, comme si 2 mètres avaient l’importance devant les 42 km du marathon.  
Le monde du sport est franchement aussi stupide et aussi bête que le monde politique, le pouvoir ne renforce pas l’intelligence ni l’honnêteté comme cette histoire vient de nous montrer. 

Dur comme la pierre

Sans caresses, le minet râle.

La nomination de Michel Barnier à Matignon signe-t-elle le prolongement du macronisme ou bien sa fin ? »

Mais en nommant Michel Barnier, réputé calme et courtois et qui n’a jamais été une figure flamboyante de la droite, Emmanuel Macron espère bien garder la main et l’ascendant.

C’est sans compter sur le Savoyard, qui a toujours eu horreur d’être sous-estimé. Lors de la passation des pouvoirs avec Gabriel Attal, jeudi, l’ancien ministre de Jacques Chirac a montré d’emblée qu’il n’avait pas l’intention d’être réduit au rôle d’exécutant ou de « collaborateur », et qu’il apporterait sa « valeur ajoutée », imprimant un style nouveau. ( Le Monde )

Le président croit pouvoir manipuler son nouveau premier ministre comme  il le souhaite, il est plus que probable qu’il devra se plier aux souhaits  de son ministre, lequel ne craint rien de ce président qui semble être presque en culotte courte, vu son age et vue sa popularité . Son nouveau premier ministre ne se laissera pas faire car il n’a rien à craindre, au contraire le président a tout à perdre , il risque d’être poussé à la démission ou être destitué si la situation du premier ministre devient trop délicate et l’atmosphère de l’assemblée nationale imbuvable.