De plus en plus discrédité, l’ancien souverain a fait part à son fils, le roi Felipe VI, de sa « décision réfléchie » de s’exiler. Il doit faire face à des accusations de corruption.

Partir pour sauver la monarchie. S’effacer pour protéger une couronne qu’il avait pourtant contribué à redorer. Eclaboussé par les affaires, l’ancien roi Juan Carlos a annoncé lundi 3 août qu’il quittait l’Espagne afin d’épargner à son fils, l’actuel souverain Felipe VI, l’humiliation des scandales à répétition dont il a fait l’objet.  ( Le Monde )

L’ancien roi d’Espagne nommé par Franco est entré dans la sénilité par la plus mauvaise porte, celle du déshonneur. Il a été le promoteur du rétablissement de la démocratie en Espagne après la dictature Franquiste, dommage qu’il ait terni cette image pour du fric mal gagné et s’enfoncer dans la bassesse financière, pot de vin et corruption.

Il est si vil qu’il ne sera jamais civil.

Cent ans après, la revanche d’Erdogan sur le traité de Sèvres.

1920-2020 : la mémoire vive des traités de la Grande Guerre » . Le dépeçage de l’Empire ottoman reste une humiliation pour la Turquie. Le président Erdogan, en déployant ses troupes en Syrie et en Libye, entend rétablir la puissance de son pays. ( Le Monde )

Turquie souffre de la faiblesse dans laquelle les pays occidentaux ont dépecé l’Empire Ottoman, Erdogan veut effacer ces tragiques histoire et redonner à son pays la fierté d’être à nouveau une grande puissance dans l’univers méditerranéen. Grâce à des accords de scellés avec la Lybie aux prises à une guerre civile entre le gouvernement d’accord national lybien (GAN) et le maréchal dissident Khalifa Haftar sur son fief de la Tripolitaine. Le GAN abandonné par l’occident s’est donc rapproché de la Turquie pour retrouver un soutien militaire, ce qui d’une certaine façon permet à la Turquie de se sentir plus forte.

Erdogan joue finalement un jeu dangereux pour la stabilité des pays méditerranéens qui sans doute ne laisseront pas la Turquie s’établir facilement si proches de ses côtes, sachant par ailleurs que les relations entre l’UE et la Turquie ne sont pas excellentes.  

La chaux sur la terre du jardin et dangereuse, portez vos chaux sûres .

Les politiques pleurnichent de concert avec les médias sur la baisse de PIB due au COVID 19 suite à la décision de confinement. Ça pleure sans réfléchir et sans se poser les bonnes questions, l’activité s’est brutalement arrêtée et ne peut redémarrer d’un claquement de doigts due à la stratégie défendue par les économistes du flux tendu. Les pauvres nazes n’ont pas vu que les délais sont chaînés et que l’activité commerciale ne pourra s’établir que lorsque nous aurons reçu les produits finis, il faut donc s’armer de patience afin d’attendre la relance industrielle des autres pays, car de l’industrie nous n’en avons plus. 

Là encore les grands stratèges économistes ont proclamé qu’il fallait laisser l’atelier du monde travailler à notre place pour que les produits finis reviennent moins chers. Ces pauvres nazes n’ont pas été capable d’imaginer un arrêt brutal des activités industrielles de la Chine ou des pays à faibles coûts de main d’œuvre. 

Alors notre beau pays, n’ayant que très peu d’industries est devenu le plus grand parc d’attraction du monde, et bien sûr en cas d’arrêt des activités commerciales du monde entier les riches ne sont plus aussi riches et la pandémie interdit le brassage des populations pour des raisons  de sécurité sanitaire. Là encore ces pauvres nazes qui ont défendu cette stratégie n’ont pas été capables d’imaginer la faille du système dans laquelle nous sommes plongés. 

C’était pas la peine d’ouvrir de si grandes écoles et d’avoir monté au pinacle des étudiants devenus exceptionnels et extraordinaires pour être tombé si bas suite à des décisions aussi stupides issus de cerveaux à peine mature et exempts de bon sens. 

Pleurez braves gens, ce qui nous arrive a été provoqué par une situation qui n’a pas été imaginée et qui donc n’a pas été développée dans les livres, donc sans solutions théoriques.