Le 12 juin, son entreprise a signé avec Force ouvrière (FO), le syndicat majoritaire, un accord de performance collective (APC), qui consacre une baisse de rémunération contre la sauvegarde de l’emploi jusqu’en 2022, sous réserve du maintien des dispositifs d’aide de l’Etat. Pour Pauline, cet accord implique une baisse de salaire de 500 euros net par mois, soit un quart de ses revenus.

Créés par les ordonnances Macron de 2017, et entrés en vigueur le 1er janvier 2018, les accords de performance collective autorisent la modification du salaire, du temps de travail et de la mobilité au nom de la préservation de l’emploi. Ces accords doivent être signés par les syndicats majoritaires ou approuvés par référendum des salariés. ( Le Monde )

Président vous avez encore fait n’importe quoi avec ces ordonnances bidons qui n’avantagent que les entreprises et mettent sur la paille des ouvriers et des employés. Vous avez ignoré les syndicats de peur de voir refuser de tels arrangements. Vous êtes toujours et encore le président des riches. 

Notons que le comportement du syndicat FO est loin d’être convenable dans cette pénible affaire, comme d’habitude l’entreprise a fait jouer le chantage à l’emploi.  

Le poli tique devant la toile émeri.

Depuis l’élection présidentielle, qualifiée de mascarade, les affrontements entre forces de l’ordre et manifestants s’enchaînent. La communauté internationale semble désormais se préoccuper du sort des citoyens de l’ex-pays de l’empire soviétique.

C’est donc bien d’une guerre qu’il s’agit. Celle que mène Alexandre Loukachenko, le chef d’Etat biélorusse, contre son peuple. Mercredi 12 août, le ministère de l’intérieur a reconnu avoir utilisé une arme à feu pour tirer sur un manifestant. ( Le Monde )

C’est tout de même triste de constater que certains dirigeants de notre société humaine ne savent pas se contrôler et quelques soient les circonstances le goût et l’attrait du pouvoir est devenu une drogue qui conduit à l’exercice du pouvoir sans partage conduisant à la dictature en ne respectant plus les règles qu’ils avaient eux même imposées.

Ne soyons pas aveugle, une telle situation peut se développer dans tout pays et sous n’importe qu’elle présidence, le danger d’un tel dérapage existe partout. 

L’histoire fourmille de semblables événements. Aucun pays n’est à l’abri d’une telle dérive. 

Les sauves gardes permettent de ménager nos forces.

Ankara veut s’imposer dans la ruée vers les hydrocarbures en Méditerranée orientale, quitte à effectuer ses missions d’exploration en partie dans la zone maritime grecque.

La Grèce souhaite un sommet d’urgence de l’Union européenne sur la Turquie, a annoncé mardi 11 août le bureau du premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, après l’envoi d’un navire turc de recherche d’hydrocarbures dans une zone maritime grecque qu’Ankara dispute à Athènes. 
( Le Monde )

L’UE s’est fait avoir, passer un accord avec la Turquie pour qu’elle retienne des migrants afin de les empêcher de  venir s’installer dans l’UE est une énorme erreur de stratégie. Erdogan exigera toujours plus et menacera l’UE de la libération des migrants afin qu’ils nous envahissent. La Grèce paiera cette sublime erreur car l’UE n’interviendra pas contre un pays soutenu par les américains, déjà un navire de notre marine a été mis en joue par la flotte turque dans une zone libre sans la moindre remarque des nos alliés de l’OTAN malgré les protestations de notre présidence.

Erdogan est en position de force et va en profiter pour exiger toujours plus, et nous plierons tant que l’UE ne sera pas plus soudée ni tant que sa défense ne sera pas plus active, Erdogan ne comprend que les rapports de force.