Ce nectar est si loin de la piquette qu’il ressemble à un vent d’ange.

En 2019, malgré une situation économique plutôt favorable, marquée par la reprise de l’emploi et les mesures de pouvoir d’achat décidées à la suite du mouvement des « gilets jaunes », les Français ont continué à alimenter leurs bas de laine. Le taux d’épargne des ménages a atteint 15,2 %, alors qu’il était de 14,9 % fin 2018. Seuls deux pays en Europe présentent un taux d’épargne plus élevé : la Suède et l’Allemagne. ( Le Monde )

Les français épargnent non pas qu’ils font des économies pour le plaisir mais bien pour tenter de se protéger d’un avenir incertain avec les dispositions prises par nos gouvernants en matière de  reformes des retraites dont personne ne sait encore quel sera le niveau des pensions. 

Le gros malin installé au palais s’est laissé emporter par ses illusions croyant dur comme fer à ses élucubrations , de plus scandant avec force que ces économies seraient bien plus rentables en les investissant dans les casinos de la bourse , là où pullulent des aigrefins de toutes espèces à l’affût de bonnes affaires , ou souvent les conflits d’intérêts animent le monde financier. Le français moyen  choisit la securité n’en déplaisent aux chantres des valeurs et actions de bourse. 

Le nouveau monde ne nous épargne pas les fables ni les élucubrations des investisseurs en mal de capitaux .

Lors d’un débat mercredi au Parlement européen, Josep Borrell, 72 ans, avait mis en doute le sérieux de l’engagement des jeunes manifestants mobilisés autour de Greta Thunberg, suggérant qu’ils ne réalisaient pas le coût des mesures nécessaires pour stopper le réchauffement. Evoquant un « syndrome Greta », il avait indiqué : « c’est très bien de sortir manifester contre le changement climatique tant qu’on ne te demande pas de contribuer au coût ». « J’aimerais savoir si ces jeunes (…) sont conscients de ce que ces mesures vont leur coûter », avait-il interrogé. ( 20 Minutes ) 

Le problème est tout autre , existe t ´il une autre solution ? Car pour sa part rester assis sur son petit siège aux assemblées lui semblent suffisant , c’est pas  ainsi qu’on calmera le réchauffement climatique .

En ce qui concerne le coût , qu’il ne s’en inquiète pas , il n’est pas sûr de devoir le payer un jour , au train où vont les choses personnes n’est près à s’engager résolument contre ce réchauffement et que les coûts estimés ne sont que des fables qui ont pour but de paralyser le monde économique libéral , pourtant , nous n’avons pas le choix , il faudra forcément faire le nécessaire et plus on attend et plus ce sera difficile et cher. 

Le nouveau monde semble vouloir tout faire dans l’urgence. Il semble que ça valorise le décideur. 

Les sens en éveil , sens interdit, sens unique , bon sens , tout cela à pas de sens. 

La Banque mondiale appelle les pays pauvres et en développement, les plus concernés par le surpoids et l’obésité, à taxer les aliments mauvais pour la santé, car trop gras, trop sucrés ou trop salés, selon un rapport publié jeudi 6 février.

Ce rapport « met en lumière l’importance d’une politique fiscale forte, par exemple une taxation des produits alimentaires mauvais pour la santé », souligne l’institution de Washington dans un communiqué. ( Le Monde )

C’est bien connu , il n’y a pas de meilleur médecin qu’un banquier , Jupiter devra d’ici quelques temps rédiger des ordonnances , ce qu’il a déjà fait pour le code du travail.

Les banques s’inquiètent de la santé des travailleurs ou des esclaves dans les pays capitalistes comme l’Amérique et une partie de l’Europe. C’est juste , des salariés malades produisent moins et cela fait baisser les espérances de profits et les bénéfices mettant en péril la finance mondiale. 

Le mélange des genres me semble douteux  à chacun son métier et parfois , c’est juste l’argent sale est dangereux pour la santé.