Une escroquerie », « Une honte », « Un Etat voleur »… Un post publié ce week-end sur Facebook suscite l’indignation de nombreux internautes. En cause ? Le tarif des masques vendus chez les buralistes pour lutter contre le coronavirus, qui aurait été fixé à 5 euros pour le gouvernement… contre 0,96 euro en Espagne. ( Le monde )

Un nouvel effet de politique ultra libérale de notre gouvernement, se faire du fric sur les masques, en ayant créé la pénurie et désormais obliger la population au port de masques vendus si cher dans les transports en commun et dans les magasins ou grandes surfaces. Il n’est pas étonnant que le niveau de défiance de la population vis à vis du gouvernement soit si grand .. 66%. 

Le tarif de ces masques n’a pas été encadré par l’Etat français et n’est pas fixe. Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, a toutefois demandé à la DGCCRF de lui faire des propositions en matière d’ici deux jours. ( Le Monde )

Une décision rapide du gouvernement est nécessaire surtout avant la date du 11 mai, d’autant que si le port du masque est obligatoire, la police comme à son habitude nous sanctionnera  par des amendes. 

Il faut bien dans cette situation économique désastreuse faire du fric d’une façon ou d’une autre, les radars sont muets à cause du virus et les interdictions de circuler. 

C’est chacun pour soit au plus haut niveau, ils n’osent plus se regarder.

Le Green Deal est aussi nécessaire qu’avant la crise. Le réchauffement climatique n’a pas disparu. » Ces mots ne sont pas ceux de militants écologistes, mais de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. En pleine bourrasque pandémique, le 15 avril, elle a rappelé avec insistance que les importants plans de relance qui seront nécessaires en Europe pour sortir de la récession économique devront prendre en compte la dimension climatique. ( Le Monde )

Enfin, une personne de pouvoir montre un intérêt pour une relance d’activité intelligente qui tiendrait compte du réchauffement climatique dont il faut absolument tenir compte si l’on ne veut par recommencer cet arrêt d’activité, cette fois non plus par le virus mais par obligation climatique. Tout espoir ne semble pas perdu, encore faudrait il que cette élan soit suivi par des présidences conscientes du problème et moins néo libérale, pour lesquelles le centre d’intérêt est l’activité économique des grands groupes mondiaux générateurs de fabuleux bénéfices. 

J’ai bien peur qu’une fois de plus cet espoir tombe en disgrâce, la finance mondialisée ne le permettra pas, les grands noms des avoirs mondiaux ne sauraient supporter la moindre dispersion de leurs avoirs. 

Reste l’argument politique majeur .

Les élucubrations du « docteur » Trump : rayons UV et désinfectant injecté dans les poumons pour lutter contre le coronavirus ( Le Monde )

Président ou pas, quand on ne sait pas, on se tait. On évite de dire des bêtises et de passer pour un imbécile incapable de ne pas saisir toutes les occasions de s’afficher devant son public qui devrait à l’entendre se détourner d’un tel candidat.