• Ce sentiment est il communicatif ?


    4 commentaires
  • L'Institut Montaigne plaide pour une augmentation du temps de travail​

    Des journées de travail plus longues, un jour férié et une semaine de vacances scolaires en moins et un recours accru au forfait jour dans la fonction publique : l'Institut Montaigne plaide pour une augmentation du temps de travail dans une note publiée mercredi. Le think tank libéral souligne :

    L'Institut Montaigne souhaite également un "accroissement du temps de travail sans pour autant que la rémunération supplémentaire correspondante ne [sic] soit versée immédiatement par les entreprises". Autres mesures défendues par le centre de réflexion, la suppression du jeudi de l'Ascension comme jour férié, en maintenant les écoles ouvertes, et la suppression en 2020 de la première semaine des vacances scolaires de la Toussaint. ( Le monde )

    Voilà, ils sortent déjà du bois, la sortie de confinement n’a pas encore été sonnée que voilà les néo libéraux attachès au capitalisme d’avant, celui du 19 iem siecle prennent la parole sans attendre d’y être invité sachant que les marcheurs au pouvoir penchent de plus en plus vers la droite réactionnaire avec son manque d’écoute des organisations syndicales et son mépris pour les organismes intermédiaires. 

    Si le nouveau monde tombe dans le monde de très avant tel que le désire l’institut Montaigne. Mettre un masque pour travailler plus, ne pas tomber malade, avoir peu de vacances pour enrichir des entreprises la botte du pouvoir le tout sans représentations syndicales. Allons nous devenir corvéables à merci ?  


    6 commentaires
  • Donald, regardes, tu mélanges déjà tes crayons de couleur.


    6 commentaires
  • L’urgence sanitaire n’a pas rapproché les points de vue de Londres et de Bruxelles : à l’issue d’une semaine de négociations de la relation post-Brexit entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE), les parties se sont « virtuellement » quittées vendredi 24 avril sur des positions tout aussi éloignées qu’avant le début de la crise pandémique.

    Michel Barnier, le négociateur en chef pour les Européens, n’a caché ni son agacement ni sa préoccupation, depuis Bruxelles, à l’issue d’un round de négociation commencé au début de la semaine et consistant en 40 visioconférences. « Le Royaume-Uni veut des progrès tangibles. Nous sommes sur la même ligne. Cela veut dire que nous avons besoin d’accomplir de vrais progrès avant la fin juin, pour trouver un bon accord à la fin décembre. Dès lors, il faudra plus de dynamisme politique et avancer en parallèle sur tous les volets de la négociation », a indiqué le négociateur européen.

    On va vers un no deal, une sortie sans accord les britanniques refusent tout prolongement des négociations. Visiblement, les interlocuteurs ne sont pas prêt de trouver un accord raisonnable entre eux avant la fin de l’année et notons que parallèlement les États Unis et les britanniques préparent un accord commercial

    Londres vient de confirmer qu’il n’abandonnait pas son espoir d’aboutir à un accord commercial « le plus vite possible » avec Washington. ( Le Monde )

    Là encore, est ce sérieux ou est ce une stratégie destinée à déstabiliser l’UE. A mon avis , il n’y a pas de quoi s’inquiéter de cette situation, Trump essaiera par tous les moyens de trouver des avantages à cette situation, quitte à fâcher BoJo. 

    L’UE sera toujours plus solide que les îles Britanniques qui vont se retouver isolées à la porte du continent. 


    6 commentaires
  • Attention ne pas la con fondre avec la con science.


    6 commentaires