• Sans masques ni gants, le virus attaque et vous devez  vous défendre en les portant.


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  • Robert Unanue, PDG de la marque de produits alimentaires Goya, a affiché son soutien à Donald Trump. Cette annonce divise la communauté latino, première consommatrice de ces produits.

    Un sacré pari, les haricots sont consommés par la communauté latino qui n’apprécie par Trump pour ses divers commentaires propos les personnes venant du Mexique.

    [Ils vont] apporter de la drogue. Ils apportent du crime. Ce sont des violeurs », avait-il déclaré pendant la campagne présidentielle de 2016. Beaucoup appellent donc au boycott de la marque avec le hashtag #BoycottGoya (ou encore #Goyaway, jeu de mot avec go away, « allez-vous-en »). ( Le Monde )

    Le risque électoral est important, l’aide du  PDG de cette marque est pas forcément un avantage pour le président. 25% des latinos soutiennent Trump et ils représentent 18 % des électeurs. 

    La politique et la publicité ne font jamais bon ménage, surtout quand elle est à l’avantage de Trump.


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  • Plus la peine, il porte toujours des gants.


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  • La chancelière allemande a dit s’attendre à « de très difficiles négociations ». Les Vingt-sept tentent encore samedi de s’accorder sur un programme d’aide crucial pour relancer l’économie européenne.

    Les Pays Bas et l’Autriche bloquent le projet de relance européen tel que prévu par l’Allemagne et la France en essayant de le conditionner par des réformes du marché du travail, celui de l’emploi et celui des retraites des pays le plus touchés par la pandémie. Ces deux pays revendicateurs  sont suivis par la Suède et la Finlande. Le pays le plus violent dans ce domaine est le Pays Bas qui souhaiterait que ces plans soient soumis à l’approbation des pays de la zone euro, une situation équivalente à ce qui avait été imposé à la Grèce.  

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a estimé à son arrivée à Bruxelles que « tous les éléments requis sont sur la table » et qu’une solution est « possible ». « Le monde entier nous regarde pour savoir si l’Europe est capable d’affronter les choses de manière unie et de surmonter avec force cette crise liée au coronavirus », a-t-elle dit. ( Le Monde )

    Visiblement l’UE n’est pas à la hauteur des ses ambitions et que certains petits pays se font un plaisir de se montrer intransigeant comme s’ils n’avaient que cette solution pour se convaincre de leur existence, le complexe du petit pays qui dispose que d’un pouvoir de nuisance par son droit de véto. Il serait souhaitable que le vote soit basé sur une majorité et non plus à l'unanimité.

    Accord conclu avec un montant de 750 milliard d’euros d’un prêt commun par l’UE. 390 milliards, contre 500 milliards initialement prévus. Ce sera la dette commune à rembourser par les Vingt-Sept. 360 milliards d’euros seront par ailleurs disponibles pour des prêts, remboursables par le pays demandeur. ( Le Monde )


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  • Parler pour ne rien dire, une spécificité politique, comme agir sans bouger.


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