• Ursula von der Leyen avait promis un plan de relance « massif », et effectivement, elle a annoncé mercredi que la Commission dépenserait 750 milliards d’euros pour aider le continent à sortir d’une récession sans précédent. Des mesures qui s’ajoutent aux mesures d’urgences à hauteur de 540 milliards d’euros (sous forme de prêts) que l’Union a d’ores et déjà décidées et aux 1 000 milliards d’euros que la BCE s’est engagée à injecter dans le système financier. ( Le Monde )

    La bonne question reste, mais vont ils faire de tout ce fric ! Soyons sûr d’une chose, les banques et les financiers se frottent dejà les mains, cet argent sera distribué sous forme de prêt et ces gens là vont se goinfer des paiements de services et ensuite des intérêts.  Pour le reste, le monde politique va lui s’assurer que ces soutiens seront bien traités dans l’espoir de continuer à grenouiller dans le marécage des intérêts personnels ouverts aux plus riches et aux plus en vue. 

    Le monde d’après sera comme le monde d’avant dans une parfaite continuité ou peut être pire pour certains d’entre nous. 


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  • Le candidat s’est mis tout seul dans cette situation, fallait pas tenter de jouer avec le système.


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  • C’est un plan à trois moteurs de quelque 8 milliards d’euros tout compris que le président de la République a présenté, mardi 26 mai, à Etaples (Pas-de-Calais), dans la grande usine Valeo européenne d’alterno-démarreurs et de machines électriques 48 volts à la pointe de la lutte contre les émissions de CO2. 
    Le premier moteur porte sur la demande, pour faire redémarrer le système en écoulant une partie du stock de véhicules. Le deuxième doit permettre de localiser la production dans l’Hexagone, et le troisième doit redonner de la compétitivité au site France par l’investissement dans la modernisation des entreprises.

    Oui, de bonnes idées, mais petits problèmes, on fait comment ?

    Écouler les stocks, bonne idée, la grande braderie va peut être commencer. J’en doute ! Les voitures en stock sont souvent des voitures chères car fabriquées en France et se sont souvent des modèles hauts de gammes qui sont au delà des moyens dont disposent les potentiels acheteurs lesquels vont trouver au chômage d’ici peu.

    Produire en France, excellente idée, localiser nos fabrications est une stratégie qui permettrait de dynamiser l’emploi. J’ai là encore des doutes. Les industries ne font pas de sentiments mais ne connaissent qu’un seul moteur, le maximum de profit. Ce fut la cause des délocalisations, il est probable que nous connaîtrons les mêmes effets. 

    Modernisation des entreprises, peut être, pour autant que les entreprises décident de fabriquer leurs produits en France. L’investissement bonne idée, qui osera investir ?

    un plan, une stratégie qui manque de moyens et d’idées de mise en pratique, encore un truc de politicien hors sol.


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  • Nous avons dernièrement découvert la relativité des faits, ce n’est pas encore un mensonge la vérité dépend des intérêts de chacun, ce n’est qu’une réalité politique.


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  • Le dixième groupe – nouveau record sous la Ve République – dénommé Agir ensemble, et dont l’esprit se veut « constructif », comprend 17 élus en tout. « Nous souhaitons soutenir l’action du président de la République et être un pilier de la majorité », explique M. Becht (Agir). Son groupe compte dix députés Agir, jusqu’alors membres du groupe UDI-Agir présidé par le centriste Jean-Christophe Lagarde. Le parti centriste Agir est présidé par le ministre de la culture, Franck Riester. ( Le Monde )

    Je me demande â quoi ça va servir, de plus avec de sensibilités creuses, vides et de plus contradictoires.

    La création du groupe Agir ensemble vient incarner et donner une voix à une sensibilité politique libérale, humaniste, sociale et européenne qui doit pouvoir s’exprimer pleinement au sein de la majorité actuelle », explique le nouveau groupe dans un communiqué. ( Le Monde )

    Une politique libérale peut elle être en même temps , humaniste et sociale. C’est vraiment se foutre de la gueule du peuple, peut être chez les nantis bien pensant cette définition allanbiquée et onctueuse ressemble à une profession de foi qui n’a plus cours dans les milieux populaires, sans doute parce qu’elle ne s’adresse pas à cette population. 


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