• Nous avons dernièrement découvert la relativité des faits, ce n’est pas encore un mensonge la vérité dépend des intérêts de chacun, ce n’est qu’une réalité politique.


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  • Le dixième groupe – nouveau record sous la Ve République – dénommé Agir ensemble, et dont l’esprit se veut « constructif », comprend 17 élus en tout. « Nous souhaitons soutenir l’action du président de la République et être un pilier de la majorité », explique M. Becht (Agir). Son groupe compte dix députés Agir, jusqu’alors membres du groupe UDI-Agir présidé par le centriste Jean-Christophe Lagarde. Le parti centriste Agir est présidé par le ministre de la culture, Franck Riester. ( Le Monde )

    Je me demande â quoi ça va servir, de plus avec de sensibilités creuses, vides et de plus contradictoires.

    La création du groupe Agir ensemble vient incarner et donner une voix à une sensibilité politique libérale, humaniste, sociale et européenne qui doit pouvoir s’exprimer pleinement au sein de la majorité actuelle », explique le nouveau groupe dans un communiqué. ( Le Monde )

    Une politique libérale peut elle être en même temps , humaniste et sociale. C’est vraiment se foutre de la gueule du peuple, peut être chez les nantis bien pensant cette définition allanbiquée et onctueuse ressemble à une profession de foi qui n’a plus cours dans les milieux populaires, sans doute parce qu’elle ne s’adresse pas à cette population. 


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  • T’inquiètes, c’est déjà fait … je peux encore ?


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  • Cinq jours plus tôt, Emmanuel Macron avait donné le « la » lors d’une visite à l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière. « On a sans doute fait une erreur dans la stratégie annoncée il y a deux ans », avait-il reconnu. La réforme du système de santé annoncée en septembre 2018 « ne portait pas assez de sens » et avait « un rapport au temps et une ampleur qui n’étaient pas du tout suffisants par rapport à l’état où était l’hôpital », avait admis le chef de l’Etat. ( Le Monde )

    Tu parles d’une erreur, contraindre les budgets en dépits de tout bon sens. Laisser pourrir le malaises des hospitaliers en grève depuis plus d’un an sans répondre à la nécessité des personnels en manque de moyens et sans revalorisation de salaire. Le responsable est celui qui décide de tout, Buzin à l’époque n’avait aucun pouvoir et cette fois,  Véran sera probablement dans la même situation. 

    Voulant décider de tout magré son  incompétence dans le domaine le gestionnaire des budgets va encore vouloir rogner les espoirs des hôpitaux qui ne voudraient plus connaître le grand cirque que fût cette période d’épidémie. 

    Manque de masques, de respirateurs et de lits ..voici la situation affolante dans laquelle la pandémie s’est installée. 


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  • C'est inutile, mais ça les occupent.


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