Alstom, Arcelor, Pechiney , Alcatel… ces autres fleurons industriels français passés sous pavillon étranger  
La vente par Sanofi de sa filiale qui commercialise le Doliprane à un fonds d’investissement américain réveille les inquiétudes sur la perte de souveraineté. ( Le Monde )

Une maladie qui se maintient, la vente des entreprises françaises aux profits de sociétés étrangères. Le spécialite reste Monsieur Macron qui ne connait rien à la technologie ni aux marchés mais se permet de vendre sans connaitre l’intérêt des produits et de  leur fabrication qui seront utiles à long terme comme les turbines à gaz à vapeur Alstom vendues  à General Electric, qui s’est s’emparé du savoir-faire du groupe français. Il a fallu racheter une partie de cette vente pour récupérer cette technologie nécessaire pour les mises en oeuvre des EPR et nos sous marins nucléaires. Terrible constat, laisser les incompétents s’emparer du pouvoir est très dangereux. 

En ce qui concerne le Doliprane aurons nous le même problème ?

Maladies 

Les six gales le minent.

Budget 2025 : l’Elysée et le Parlement renoncent à l’augmentation de leur dotation
Alors que le gouvernement a présenté un budget de rigueur, l’Elysée a annoncé vouloir « donner l’exemple » en ne demandant pas de hausse de sa dotation pour 2025. Les deux chambres du Parlement ont également proposé le même effort budgétaire. ( Le Monde )

C'était tout de mème impressionnant de constater que le pouvoir s’était adjugé une augmentation des dotations pour l’élysée et pour les assemblées lesquelles ont été raisonnablement refusées par les destinataires.
Les augmentations fiscales étaient suffisantes pour ne pas en rajouter , car cela aurait été du plus mauvais effet.  
Tandis que les uns se serrent la ceinture et les autres s’empiffrent , pas sur que cette délicate formule a été  évitée.

Guérison

Vit ta mine, tout  te vas très bien .

Michel Barnier confronté à la cacophonie de son « socle commun » à l’Assemblée… et au gouvernement  
Le premier ministre doit réunir les responsables de sa majorité relative, mardi 15 octobre au matin, à Matignon, alors que les divergences éclatent au grand jour au sein même des partis qui la composent.  ( Le Monde )

Le premier ministre se débat avec des partis en compétition permanente présents à l’assemblée sous contrôle du FN qui ne fait pas parti de l’arc républicain. Le pays est dans une situation budgétaire intenable provoquée par le manque de sérieux de l’ancien gouvernement et surtout celui du président qui pour l’instant se tait pourtant responsable du désastre politique actuel.
Saluons le courage du premier ministre qui doit faire face aux muliples adversaires de sa politique sans être sur de pouvoir l’emporter et sous le contrôle de l’extrême droite. Il est difficile de trouver une situation plus inconfortable .