• Copropriétés : le gouvernement soutient une proposition de loi pour suspendre l’interdiction des passoires énergétiques

    Deux députés proposent que les logements classés G ne soient pas retirés du marché locatif si des travaux sont en cours pour les rénover thermiquement et s’il y a un blocage dans la copropriété ou de la part du locataire. ( Le Monde )

    Une disposition de la loi à l’avantage du propriétaire sachant qu’un locataire ne pourra trouver un  nouveau logement avant ou pendant les travaux  de rénovation compte tenu de la crise actuelle de la disponibilité de logements. Le blocage des copropriétés n’est que théorique , les propriétaires de ces logements se seront mis d’accord bien avant les travaux pour éviter les blocages. Nous ne sommes pas prêts d’éradiquer les passoires thermiques avec de telles dispositions , nous retrouvons de cette disposition l’action des propriétaires soutenus par une partie non négligeable des partis soutenant le gouvernement lequel semble protéger les propriétaires de logements en location plutôt que la santé des locataires .  
    Cela fait partie d’un choix de société , nous retrouvons ici  les principes fondamentaux de ces partis, LR en tête, macronistes ensuite embarqués dans une alliance de façade .


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  • Mot tif

    Motif d'exclusion de ce terme chez les coiffeurs .,


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  • La décarbonation « embryonnaire » de l’industrie européenne
    Dans un rapport publié jeudi 24 octobre, le think tank libéral l’Institut Montaigne exhorte l’Union européenne à investir massivement dans la transition énergétique, et propose la création d’une agence européenne pour coordonner la décarbonation industrielle.

    La Chine sait faire de la stratégie industrielle à long terme, mais l’Union européenne qui ne pense plus qu’en fonction des coûts budgétaires », alerte Joseph Dellatte, expert du climat, de l’énergie et de l’environnement à l’Institut Montaigne et auteur du rapport. ( Le Monde )

    Comme d’habitude les européens montrent qu’ils n’ont pas de suite dans les idées ou pire, pas d’idées du tout. C’est effectivement le drame de notre continent, les réflexions de nos managers se limitent aux gains immédiats, il semble que leurs pensées ne peuvent s’étendre au dela de leurs portefeuilles et qu’ils ne peuvent concevoir des événements à long terme.  
    De mon point de vue , il s’agit d’une limitation intellectuelle issue probablement d’une éducation insuffisante et incomplète car il est peu probable que les européens soient tous des imbéciles. À mon avis il faut au plus vite réformer les cours donnés aux étudiants afin qu’ils soient capables  d’imaginer et montrer que leurs créativités n’a pas été détruite par l’enseignement . 

    La prospérité passe par les capacités créatives et intelligentes de nos responsables et non par la répétition des erreurs du passé. 


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  • Au ras du sol

    Sans zèle , difficile de voler , sans ailes non plus .


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  •  Bloom a sélectionné aléatoirement 148 boîtes de conserve dans cinq pays européens (France, Allemagne, Angleterre, Espagne et Italie) et les a fait tester par un laboratoire indépendant: 100 % des boîtes sont contaminées au mercure", révèle l'enquête menée par l'ONG Bloom. L'association de défense de l'environnement affirme que pour plus d'une boîte sur deux, la teneur en mercure dépasse la limite maximale fixée pour d'autres espèces de poissons, soit 0,3 mg/kg.

    Le mercure, présent notamment dans les dépôts atmosphériques provenant des centrales à charbon, est classé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) parmi les dix substances les plus préoccupantes pour la santé publique. Dans l'océan, le mercure se mélange à des bactéries et se transforme en méthylmercure, un dérivé encore plus toxique. "Le mercure élémentaire et le méthylmercure sont toxiques pour les systèmes nerveux (...); des troubles neurologiques et comportementaux peuvent être observés après exposition", indique l'OMS. ! Le Monde )

    Comment faire confiance aux industriels de l’alimentation, on serait tenté de tout suspecter de malfaçons pour permettre à ces entreprises de faire de bons bénéfices. Notre service public sanitaire ne semble pas s’intéresser à cette situation, maintenant que cette information est sortie dans la presse peut être va t’elle intervenir. Il s’agit tout de même de la santé de nos concitoyens et il serait temps qu’elle s’occupe activement de ce genre de dérive. 


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