• Donald, regardes, tu mélanges déjà tes crayons de couleur.


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  • L’urgence sanitaire n’a pas rapproché les points de vue de Londres et de Bruxelles : à l’issue d’une semaine de négociations de la relation post-Brexit entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE), les parties se sont « virtuellement » quittées vendredi 24 avril sur des positions tout aussi éloignées qu’avant le début de la crise pandémique.

    Michel Barnier, le négociateur en chef pour les Européens, n’a caché ni son agacement ni sa préoccupation, depuis Bruxelles, à l’issue d’un round de négociation commencé au début de la semaine et consistant en 40 visioconférences. « Le Royaume-Uni veut des progrès tangibles. Nous sommes sur la même ligne. Cela veut dire que nous avons besoin d’accomplir de vrais progrès avant la fin juin, pour trouver un bon accord à la fin décembre. Dès lors, il faudra plus de dynamisme politique et avancer en parallèle sur tous les volets de la négociation », a indiqué le négociateur européen.

    On va vers un no deal, une sortie sans accord les britanniques refusent tout prolongement des négociations. Visiblement, les interlocuteurs ne sont pas prêt de trouver un accord raisonnable entre eux avant la fin de l’année et notons que parallèlement les États Unis et les britanniques préparent un accord commercial

    Londres vient de confirmer qu’il n’abandonnait pas son espoir d’aboutir à un accord commercial « le plus vite possible » avec Washington. ( Le Monde )

    Là encore, est ce sérieux ou est ce une stratégie destinée à déstabiliser l’UE. A mon avis , il n’y a pas de quoi s’inquiéter de cette situation, Trump essaiera par tous les moyens de trouver des avantages à cette situation, quitte à fâcher BoJo. 

    L’UE sera toujours plus solide que les îles Britanniques qui vont se retouver isolées à la porte du continent. 


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  • Attention ne pas la con fondre avec la con science.


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  • Le décalage entre une économie qui va sortir exsangue de la crise et des marchés financiers robustes interpelle. N’en déplaise à ceux qui rêvent à un « monde d’après » plus juste, la dépression qui vient risque d’accentuer les inégalités et la concentration de l’activité autour d’oligopole. ( Le Monde )

    La sortie de crise économique attendue après les confinements imposé par les états donc l’arrêt des activités industrielles et commerciales ne pourra s’effectuer qu’ avec de lourds investisements associés à un problème de liquidités. Alors, les planches à billets mondiales vont tourner et enrichir au final les systèmes financiers et bancaires, qui seront chargés d’ouvrir des crédits à leurs clients les plus intéressants. 

    Nous assisterons probablement à une concertation et rachats d’entreprises au profit de celles qui auront le mieux résisté à l’appauvrissement général.  Les banques et le monde financier en tireront d’énormes bénéfices. Les riches deviendront encore plus riches et les plus pauvres plongeront dans la misère. Les populations feront comme d’habitude  les frais de ces concentrations par des mises au chômage et baisse de leur pouvoir d’achat, les états se seront très endettés et n’auront que peu de marges de manœuvre.

    Les crises se terminent toujours ainsi, par l’appauvrissement général de la population au profit des marchés financiers et bancaires. Nous risquons de retrouver toutes les mauvaises habitudes de ce secteur, la spéculation et des taux d’intérêt élevés sous l’œil indulgent des pouvoirs politiques. 

    Le monde néo libéral aura encore le pouvoir et rien ne l’empêchera de prospérer, qu’importe le réchauffement climatique, la bio diversité, la santé et le bien être de la population, seuls ses intérêts seront sauvegardés.


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  • Oui, mais modérément, surtout pas comme les sanctions.


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