• «Menacer de nationaliser le site ArcelorMittal de Florange comme le fait le gouvernement si le groupe refuse de le céder est scandaleux», a déclaré ce jeudi la présidente du  Médef  Laurence Parisot.

    «C'est une expropriation, a ajouté la présidente de la première organisation patronale française. Ébranler le principe du droit de propriété comme ça, à la va-vite, c'est très grave et en plus c'est très coûteux.»

     

    La peur du patronat de est se retrouver à la tête d’entreprises nationalisées comme au temps des soviets, la grande trouille que la  droite possédante risque de subir,  je vois déjà l’émigration s’accélérer, j’entends déjà les appels  aux interventions externes pour que le droit de propriété soit rétabli au sein de l’Europe libérale.

     

    Le médef est aux portes de l’apoplexie , au bord de la crise de nerf, voyez les impôts tuent l’activité et les bénéfices des entreprises est réduits à rien , les taxes multiples massacrent les dividendes des actionnaires, et de plus la touche finale,  l’expropriation, voler le bien des entrepreneurs , eux qui travaillent tant pour le bien de tous, alors que certains choisissent  d‘aller vivre à l’étranger , non pas pour payer moins d’impôts mais pour se rassurer de ce dernier tournant de société…

    Le médef a peur du retour de l’extrême gauche au moment ou la droite n’existe plus pour la défendre.


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  • Walls n’invente pas, il cite Rocard sans plus …


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  • L’UMP se brise en petits morceaux , des ambitions personnelles ont fini par  prendre le dessus de toutes réflexions objectives, la bataille des chefs est engagée, il n’est pas certain  que les deux coqs puissent ranger les ergots ni oublier leur ego. Et encore, il ne s’agit que d’un poste de présidence du parti, imaginez ce que sera la bataille pour les primaires présidentielles  , ça va dégoiser  sans scrupules, méchamment , sans retenue, la droite décomplexée  n’aura pas de complexes et va se vautrer dans la délation pour faire mordre la poussière à  l’adversaire qui barre le chemin du prétendant le plus vindicatif  . J’attends avec gourmandise ces primaires, je sens que l’ambiance UMPiste sera lourde. J’ai bien peur qu’ensuite la campagne présidentielle ne vole très bas, les décomplexés ne s’arrêteront pas facilement de médire , les cibles seront tout azimut, à moins que l’UMP n’explose au profit d’un centre droit plus crédible et une extrême droite renforcée

    Pour la gauche, ce ne sera pas gagné pour autant, il faut que les pas de danse du président s’arrêtent , deux pas en avant , un pas en arrière ne font pas le bonheur des sympathisants de gauche qui exigent des actions bien organisées sans hésitations ni regrets

    Ces deux phases peuvent exister, en  toute discrétion, dans le cabinet présidentiel,   mais une fois la décision annoncée à la presse, inutile de revenir la contre dire, c’est improductif, de plus , c’est néfaste à la crédibilité du gouvernement.


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  • Dalida sans son , y aurait il une erreur ? Je sais, c’est tiré par les cheveux..  

     


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  • Les enfoirés se donnent le mot, sauver les miséreux en leur offrant de quoi se nourrir, remarquez qu’il y en a deux qui ne veulent rien lâcher, pour une histoire rigolote de préséance devant des électeurs potentiels d’une droite durcie sommeillant au rivage du FN , l’un des deux, fort de son assurance se prétend chef, l’autre ne l’entends pas de cette oreille et ne compte pas se laisser faire, quitte à faire exploser le parti de l’ex , lequel ne pourrait revenir aux affaires tant le désamour du peuple pour sa personne est violent. 

    Le situation est bloquée, je suis triste pour ceux qui se sont acquittés de leurs cotisations en pure perte, financer un parti moribond est une grave faute politique, un erreur d’estimation de la situation , cela  passerait pour de l’invitation à la forfaiture au vu des engagements impossibles à tenir, et à des promesses de victoires électorales sur des têtes qui ne savent plus vers qui se tourner.

    Les pauvres, les voici orphelins d’idées, car, comme vous l’avez remarqué les godillots savent marcher au pas, la tête près du bonnet , ce qui ne favorise pas l’éclosion d’idées personnelles. Les penseurs du sommet ont suivi le porteur de la  défaite , je ne suis pas sur que celui-ci veuille s’intéresser au sort  des kamikazes , ils ont déjà plongé la tête la première dans les ennuis qui les conduiront à l’oubli.


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