Didier Guillaume, ministre de l’agriculture, et Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat aux affaires étrangères, veulent se présenter sur deux listes différentes dans la ville basque.

L’un, Didier Guillaume, est ministre de l’agriculture. L’autre, Jean-Baptiste Lemoyne, est secrétaire d’Etat aux affaires étrangères. L’un fut sénateur socialiste de la Drôme, l’autre sénateur Les Républicains de l’Yonne. Et l’un comme l’autre aimeraient se catapulter sur la côte Atlantique, à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), à l’occasion des élections municipales de mars 2020… Mais sur deux listes différentes ! ( Le Monde )

Des envies de prendre prendre le large en essayant de s’engager dans un combat municipal prêts à tous pour convaincre l’électeur qu’il est meilleur que son voisin du même gouvernement. 

Le nouveau monde innove une fois de plus, aux élections municipales de Paris , Lyon et maintenant Biarritz d’avoir de têtes de listes sans que le chef du gouvernement n’intervienne montrant à tous des désaccords au sein d’un même gouvernement et d’un même parti , serait ce là , la transparence que les citoyens avaient réclamé. 

Ce nouveau monde montre que la place de maire est plus favorable que celle d’un ministre, moins  de ronds de jambes et plus de stabilité. 

La maladie mentale la plus courante, est la  pénurie d'asiles.

La dotation allouée à la présidence de la République enregistre une hausse de 2,25 %, passant de 103 millions d’euros en 2019 à 105,32 millions en 2020. Le poste des déplacements présidentiels a grimpé en flèche. ( Le Monde)

Obliger les français à se serrer la ceinture et ne pas faire est l’apanage de la présidence qui s’alloue sans concertation une hausse de 2,25 % de son budget annuel par goût des voyages je suppose. 

J’ai demandé à être reçu, comme cela s’est fait les années précédentes sans difficultés, relate l’ancien président de la commission des lois du Sénat au Monde. Le directeur du cabinet, Patrick Strzoda, n’a pas jugé utile de procéder à une audition. Il m’a indiqué par courrier qu’il ne répondrait qu’à des questions écrites, ce qu’il a fait de façon très laconique. » M. Sueur dit espérer que cette situation ne se renouvellera pas à l’avenir. ( Le Monde)

Jupiter de son estrade ne soufflera mot ni n’autorisera aucun commentaire , à croire que la royauté n’a pas disparue et que ses mauvais travers restent d’actualité.  

Ce nouveau monde se veut équitable et traiter tous les citoyens de la même façon , mais cela n’est qu’une illusion , un argument politique et malheureusement rien d’autre. 

En 2018, les émissions de gaz à effet de serre issues des activités de financement et d’investissements des quatre principales banques françaises – BNP Paribas, Crédit agricole, Société Générale et BPCE – dans le secteur des énergies fossiles ont atteint plus de 2 milliards de tonnes équivalent CO2, soit 4,5 fois les émissions de la France », souligne le rapport. Des quatre banques évaluées, c’est la BNP qui soutient le plus de projets polluants, suivie du Crédit agricole, de la Société générale et de BPCE. ( Le Monde )

Ce rapport d’Oxfam et des Amis de la Terre oublie le rôle des banques d’investissements , leur but est de faire du fric sans aucune retenue sans idées préconçues à propos du climat. Ce qui devrait être du souci de l’état qui normalement devrait être concerné par le réchauffement climatique comme le sont les citoyens de notre encore beau pays avant que le thermomètre ne s’emballe , mais non , le gouvernement ne semble pas vouloir intervenir dans les types d’investissements offerts au monde financier, ce qui d’une certaine façon le maintient fermement dans une économie libérale plus intéressée par ses bénéfices propres que par la survie des espèces y compris la nôtre.

Il est vrai que les très riches sauront grâce à leurs fastueux moyens se constituer un espace tempéré à leur convenance , il est probable que certains politiques y trouveront refuge.

  C'est gagner aux points avec les poings .