• Leurs « contributions sur l’Union monétaire » démontre que les dirigeants français et allemands ne partagent pas grand-chose en commun avec David Cameron. Dans leur document, le chef de l’État et la chancelière annoncent même vouloir proposer d’ici à la fin 2016, des « étapes supplémentaires (…) qui pourraient cette fois examiner le cadre politique et institutionnel, les instruments communs et les bases juridiques (…) pertinents à long terme ». Rien ne dit que cela ne débouchera pas alors sur une refonte en profondeur des traités. Mais ni dans le sens, ni selon le calendrier esquissé par David Cameron.

    L’Angleterre n’a jamais été très attirée par l’UE , sauf peut être les industriels qui arrivent de cette façon à refourguer leur camelote, la City tremble de peur devant les intentions des partenaires de la zone Euro de taxer plus fortement les transferts financiers européens ce qui ferait perdre des devises au Royaume Uni, puis la volonté du gouvernement britannique de limiter la libre circulation des européens vers l’Angleterre en désaccord avec les traités déjà ratifiés par l’ensemble des partenaires de l’UE, la France et l’Allemagne ne sont pas prêtes à céder aux demandes de Mr Cameron , Brexit serait il au bout du chemin des conservateurs britanniques ?


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  • Qui peut désormais faire la différence ?


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  • Entre 2012 et 2014, relève-t-il, ces dépassements ont enregistré une progression de 6,6 % et représentent désormais plus de 2,8 milliards d’euros à la charge des patients.

    Se « réjouissant » que « certains excès tarifaires » aient bien été « freinés », l’Observatoire, qui a été créé en 2013 par le Collectif interassociatif sur la santé (CISS), le magazine 60 millions de consommateurs et la société Santéclair, émet toutefois un sérieux « bémol » sur le « bilan positif » dressé par l’Assurance-maladie le 20 avril.

    Celle-ci avait annoncé que le taux de dépassement pratiqué par les médecins en secteur 2 (en honoraires libres) avait connu une légère baisse entre 2012 et 2014, passant de 55,4 % à 54,1 %. Un bon résultat obtenu selon elle grâce à la mise en place du Contrat d’accès aux soins (CAS), signé et respecté par 8 750 praticiens libéraux s’engageant à ne pas demander à leurs patients le double des tarifs de la « Sécu » contre une prise en charge d’une partie de leur cotisation par l’Assurance-maladie (pour un montant moyen de 5 500 euros).

    Un franc succès pourrait on dire, je serais plus critique, ces dépassements d’honoraire sont un scandale à la santé , le serment d’Hippocrate serait devenu un serment d’hypocrite.

    Personne du pouvoir ni des assemblées ne fera de commentaires négatifs envers cette population de praticiens très respectés par les pouvoirs pour raison de survie du politique en fonction et pour la raison qu’un bon nombre des représentants de la population sont issus de ce milieu, pourquoi devenus représentants élus iraient ils piétiner leur privilège. On est toujours mieux servi par soi même, n’est il pas vrai ? Ces gens semblent nous dire , faites des efforts, mais laissez nous profiter de nos avantages …


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  • NS prend part à la nouvelle bataille des lumières ….


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  • Que doit on penser lorsque l'on entend le terme politiquement correct passé dans les expressions populaires, soulevant ainsi diverses réflexions, politiquement veut il dire exprimé avec langue de bois, au bord du mensonge dans un langage qui se veut respectueux des auditeurs tout suggérant le contraire , ce que je traduirais par un comportement de faux cul. De ce fait, il semble logique que le politique n'a aucune connexion avec toute morale qui exige franchise et respect des autres. La morale est le respect de l'humanité et de ces valeurs universelles, l'attitude politique est principalement orientée vers la recherche du pouvoir personnel, qu'il soit dédié à la fonction politique ou autre, cette attitude à pour but de favoriser une avancée personnelle vers le pouvoir en accord avec la morale ou pas, des l'instant ou des intérêts personnels sont en jeu, la notion de bien commun n'existe pas pour les individus politiques, le seul moteur est uniquement l'intérêt personnel, quelque soient les idées politiques défendues par le parti auquel il milite, qui, n'oublions pas, roule pour celui qui sera son représentant. Là , encore, il n'y a aucune moralité ni aucun respect pour ceux qui soutiennent le favori des ces messieurs eux même en course pour obtenir une miette de pouvoir, qui les placera au dessus du lot commun. Ainsi va la politique, sans aucune moralité , sans complexe ni honte de se dédire ou de piétiner avantageusement les promesses faites aux électeurs.
    Les diverses affaires qui collent aux basques des politiques sont autant de casseroles qu'il leur faut trimbaler, quel dommage que ces casseroles ne soient pas réelles, on pourrait entendre venir de loin le politicien peu scrupuleux .


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