• Vas, y , c'est pas moral, mais, c’est pas encore interdit ...


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  • Tracé rapidement l’évolution de l’homme et de sa société, de tout temps les exagérations, les exactions furent tolérées par le pouvoir jusqu ‘au moment ou le mécanisme utilisé moralement défectueux fut découvert, le racket fut interdit après que Rockefeller fit fortune grâce a des techniques d’intimidation de petits propriétaires de champs pétrolifères. Il en fut de même avec le système mis en place par Law qui fit changer de mains des fortunes considérables avec comme principal outil la spéculation , aujourd’hui la technique des supprimes devrait être interdites suite aux désastres financiers subits par les pays au profit de quelques uns, titriser des dettes est quand même une vaste arnaque. La créativité malhonnête de quelques uns a fini par tuer toute confiance entre les pouvoirs financiers et la population,  la crise de confiance va encore plus loin car elle décrédibilise tous les systèmes politiques, de droite du centre et de gauche ainsi que des extrêmes.

    L ‘appât du gain et des pouvoirs fait de l’homme une véritable marionnette prêt à se dédire et changer de conviction pour l’entraîner vers des abîmes , la guerre ne fut elle pas le fruit de ces folies , prendre ce qu’avait le pays voisin sans autre forme de procès, quitte à projeter des populations dans des bains de sang.

    La notion de propriété appelle la droiture et la moralité, dommage que le vol participe aux échanges.

    Cette fable n’est que le cheminement que suit la capitalisme depuis la nuit des temps , l’histoire nous en montre ses excès sans jamais porter de jugements de valeurs sur les événements ni sur leurs causes. Cela ferait trop de peine à ceux qui profitent encore du système et ceci pourrait devenir dangereux pour ceux qui en sous mains sont aux commandes. Alors, personne ne moufte, portant il faudra bien qu’un jour tout cela devienne moral, de plus, que certains ne cessent de monter au pinacle ceux qui agissent ainsi …


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  • Mais, non, ce n'est pas une question, c'est un concept  dépassé  depuis longtemps ...


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  • Puis, de guerres en guerres, le monde devint plus petit, les possessions des possédants plus grandes, le nombre d’employés libres devinrent plus important certes, mais pas autant que le nombre des serfs ou des esclaves qui oeuvraient pour le maître. La croissance suivait les progrès technologique, la découverte de la roue permis d’augmenter les charges transportées , d’accroître avec le dressage des animaux de trait les surfaces d’exploration et l’exploitation de nouvelles ressources fut facilitée, permettant de spolier des peuples vivant dans des régions de plus en plus lointaines. Ce furent des moments de croissance considérables pour les pouvoirs en place car d’après les maîtres, les fruits de la croissance ne pouvaient se partager au risque de déplaire au divin, ce que les religieux ne cessaient de répéter , prônant abnégation et obéissance au peuple besogneux.

    La société ne cessa de progresser en ce sens malgré quelques réactions de ceux qui n’avaient rien, le plus souvent matés avec la plus grande sévérité.

    La liberté n’avait qu’un seul sens, laisser libre tous ceux qui voulait entreprendre , la liberté devint libérale , sans entrave ni interdiction d’aucune sorte , liberté pour quelque uns et servage pour tous les autres, ce qui conduisit nécessairement et par réaction à la notion des droits de l’homme notion qui contre disait la création divine de l’organisation de la société , les révolutions se succédèrent sans que change cette mentalité libérale prônée désormais par les gouvernements successifs qui reposaient avant tout sur l’égoïsme et la cupidité humaine.

    La plus grande escroquerie n’est elle pas d’entendre encore aujourd’hui les libéraux clamer qu’ils appliquent leur politique pour le bonheur de tous, pour eux bien sur et oser étendre cette idée aux esclaves modernes de tout horizon. La mondialisation en est l’expression la plus convaincante, profiter sans vergogne des bas salaires dans des pays pauvres pour réaliser des bénéfices monstrueux dans les pays riches et ce sans la moindre honte, tout au contraire, s’en targuer.


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