Ha oui, démocratie sociale , le terme a de quoi faire rêver, construire une démocratie ou tous les courants de la société soient pris en compte , ou personne ne soit laissé sur le bord de la route, ou l'exclusion est bannie par la loi et dans les faits.
La réalité ne dépasse pas la fiction , elle a bien du mal à exister en temps que telle, la démocratie n'existe même pas, seuls deux partis sont représentés aux assemblées les français ne s'y reconnaissent même pas, à quand le vote à la proportionnelle sera établi et imposé dans les faits et pas que dans les programmes électoraux.

Sociale , complétant démocratie, là encore, une expression à faire rêver mais au final, expression mensongère sans aucun doute. Le social respecte à l'égalité de traitement des composantes humaines de la société , alors, là encore je rigole , comment peut se moquer du monde ainsi, la seule composante de la société digne d'intérêt pour quelques hommes du pouvoir sont les riches et les nantis sous prétexte qu' eux seuls ont les moyens financiers d'investir et pour cela il faut que le reste de la population paie des impôts pour les remercier de la bonté de promettre de créer des entreprises afin de donner du travail à ceux qui doivent payer des impôts, les pas nantis dirais je. Il est évident que la société pour fonctionner a besoin de la contribution de presque tous pour assurer sa défense et la sécurité de ses édiles et accessoirement de ses citoyens , notons au passage que les services publics le sont de moins en moins, les libéraux n'ont qu'une envie, le faire disparaître au profit d' officine privées , afin de générer des profits qui renforceront le pouvoir des possédants.
La démocratie sociale n'a rien à voir avec la gauche, il ne s'agit là que d'usurpation de termes , faire prendre des vessies pour des lanternes , de quoi s'y faire pendre. La démocratie sociale n’est que la pâle copie du capitalisme.

Coupable , non, enfin si coupable ne pas avoir été responsable .

«La France, cinquième puissance économique du monde (...) entend, par les réformes qu'elle engage, rester à ce niveau», a déclaré le chef de l'Etat au lendemain de la publication de chiffres de la croissance (nulle au second trimestre comme au premier) qui ont jeté le doute sur la capacité du pays à sortir de la crise.

«La France est une nation qui compte dans le monde, sur la scène internationale, une nation qui prend ses responsabilités pour assurer la sécurité de l'Europe mais aussi la sécurité dans le monde», a insisté le président Hollande.

Voilà une idée qu'elle est bonne, une petite question, comment on fait ?
les pacte de responsabilité ne sera pas suffisant , le médef semble embourbé dans l' inaction et l'immobilisme , pour des libéraux je trouve cette organisation plutôt terme et pas du tout flamboyante, le seul dynamisme que nous avons pu détecter est la hargne de son président à réclamer plus d'aide et plus de fric, pour le reste, c'est vraiment le néant. C'est triste à écrire , mais c'est vraiment cela , à moins que ces messieurs nous réservent des éclats lors de leur future université d'été, à croire qu'ils se prennent pour des intellectuels. pour l'instant nous n'avons jamais vu des suggestions intéressantes issus de ces rangs , des suggestions intéressées, oui, elles furent trop nombreuses , c'est sûrement pour cela que personne n'arrive à prendre au sérieux les adjonctions du fils de son père, qui ne finira jamais de rejouer les épisodes du pacte qui aurait dû le rendre responsable.

Faire et défaire , c’est toujours travailler .. n’est ce pas là, la maxime de certains administratifs.

D'anciens fleurons rayés de la carte, des faillites spectaculaires comme pour Caddie, des usines qui ferment, d'autres qui tournent au ralenti et vieillissent, et très peu de nouveaux projets : l'industrie française dépérit. Après avoir plongé en 2009, lorsque la faillite de la banque américaine Lehman Brothers avait tout bloqué, elle avait commencé à remonter la pente. Mais depuis le printemps 2011, elle est repartie en marche arrière.

Le patronat a le pied bloqué sur le frein en attendant que la consommation des ménages permette de relancer les fabrications industrielles, mais cette fois ci, les augmentations en berne, les hausses d’impôts , la baisse du taux du livret A ont plombé le moral des français qui préfèrent tout de même épargner plutôt que de dépenser les maigres économies qu’ils ont pu réaliser. Le patronat lui attend avec une impatience bruyante que le pacte de responsabilité soit enfin mis en œuvre à leur avantage bien évidemment, mais encore faut il que l’état en ait les moyens ce qui, vues les circonstances économiques ne semble pas être le cas, les rentrées fiscales se sont réduites avec la baisse de la consommation des ménages..

La spirale déflationniste est amorcée , qui pourra nous faire sortir de ce cycle infernal , j’entends les libéraux piaffer d’impatience, je vois les UMPistes tentés de lever le doigt, ce n’est pas en durcissant la politique que le président mène que nous sortirons du marasme , qu’on se le dise , tout au contraire. Il est temps de relancer la consommation pour qu’enfin la courbe du chômage s’inverse, pour que la consommation permette aux entreprises de créer de nouveaux postes de travail , les chômeurs devenus actifs seront le moteur de la croissance n’en déplaisent au libéraux qui resteront coincés sur la stratégie économique de l’austérité qui conduit à la la déflation donc à la misère la majorité de la population et permet aux banques et financiers de tous poils de rouler sur l’ or.