Une coalition entre la gauche et le camp présidentiel « est impossible du fait de désaccords profonds », juge Lucie Castets « Je pense que ce n’est pas ce qu’attendent les électeurs qui ont placé le programme de rupture du Nouveau Front populaire en tête des dernières élections », estime la candidate de la gauche pour Matignon.

Déplorant sur France Inter « l’inconséquence » d’Emmanuel Macron et son « déni de démocratie » devant le rejet de sa candidature alors que le Nouveau Front populaire est arrivé en tête des élections législatives – mais sans obtenir de majorité absolue –, la haut fonctionnaire l’a prié de « prendre ses responsabilités ». ( Le Monde )

Le roi de la dissolution sans alternative ni solution de secours ne veut pas de premier minîstre proposé par le FP. Il s’agit d’un blocage intellectuel d’ordre politique, sûrement déçu par son manque d'imagination. Le président rejette toute idée de la constitution d’un nouveau gouvernement dans lequel il n’aurait aucun pouvoir , il va essayer par tous les moyens de trouver une alliance avec ce qu’il reste des LR , pour l’instant pas de ceux qui ont filé en douce vers le RN , à l’avenir il est possible que les LR passés à l’extrême droite lui fasse moins peur que la gauche. En gros « en même temps » change de sens. Le président a annoncé que de toutes façons il restera à son poste jusqu’à la fin de son mandat. Nous espérons bien sur qu’il ne jouera pas au Trumpisme du style, « j’ai gagné les élections quelque  en soient le résultat des votes ».  
La drogue du pouvoir est une maladie psychiatrique, la déception de la galère de la dissolution passe mal, a t’il oublié que c’est lui qui l’a décidé pourtant,  celui qui a foutu la merde s’en lave les mains. Au palais il semble que l’on ait perdu le sens de la réalité.