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Erreur présidentielle
Depardieu : la faute politique du président
On connaît le goût d’Emmanuel Macron pour le « en même temps ». La présomption d’innocence qu’il a invoquée est évidemment un principe à défendre. Mais proclamer sa fierté pour un homme qui étale régulièrement son mépris pour la France et son admiration pour Vladimir Poutine est aberrant. (Le Monde )De plus soutenir un harceleur soupçonné de viols est une injure à l’idée que l’on peut se faire de la justice, et décider cela sous prétexte que l’accusé est un grand artiste. Non mais !
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Commentaires
Le pékin d'un petit bled ne serait pas soutenu par l'exécutif. En revanche, rien d'étonnant que le big chief ait voulu mêler son grain de sel dans une affaire sordide. Il s'est déclaré très tôt comme étant disruptif...
Grand chef ou pas, il a des limites à la décence. Cet épisode ne l’honore pas.