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Dure réalité
La multiplication des « refus d’obtempérer », une réalité aux causes diverses
Avec neuf morts depuis le début de l’année, dont deux mercredi 7 septembre à Rennes et à Nice, la question est devenue un sujet majeur du débat politique et sécuritaire. ( Le Monde )Un débat ? Il n’y a jamais eu de débat à ce sujet si ce n’est dans l’enceinte du pouvoir entre le président et le ministre de l’intérieur qui défend pied à pied cette terrible capacité bouche trou qui permet de sanctionner n’importe qui à n’importe quel moment dans n’importe quelle circonstance, et d’user de façon excessive son arme contre celui qui est suspecté d’être un contrevenant.
Ainsi, rencontrer la police les mains dans les poches revient à prendre un sérieux risque, car ces officiers peuvent croire à tout moment que vos intentions sont malveillantes.
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Commentaires
Il faut noter que les contrôles ne sont pas assez nombreux : certains chefs de gang sont connus mais se font discrets tout en empochant des biftons à gogo tandis que les sous-fifres sont arrêtés... Justice à deux vitesses impitoyable : ce sont toujours les petites mains qui trinquent, les gros patrons étant couverts et donc bien protégés.
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Vendredi 5 Avril à 17:27
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Mais le refus d'obtempérer est devenu monnaie courante.
C’est sur, c’est la description de la faute la plus fréquente.