• Cadeau à la Chine

    Les deux capitales, comme les industriels, Alston et Siemens  craignent la concurrence du chinois CRRC, numéro un mondial du ferroviaire né du rapprochement de deux entreprises d’Etat contrôlées par Pékin. CRRC fabrique 200 trains à grande vitesse chaque année, et Siemens-Alstom 35, notait récemment Bruno Le Maire.

     Mais les règles de concurrence de l'UE interdisent de permettre le rapprochement des ces 2 Industriels au profit de la Chine , la commission de L' UE  reçoit elle des subsides de cet État pour la favoriser ainsi.

    Seuls les syndicats sont satisfaits de cette décision

    L’interdiction de la fusion devrait faire le bonheur des syndicats belge et français d’Alstom. Ils avaient réitéré lors d’une rencontre avec Mme Vestager, à Paris le 21 janvier, leur opposition au projet, craignant d’importantes suppressions de postes.

     Que ces syndicats profitent bien de cet instant de bonheur , car au train où vont les choses , si on peut dire,  ils se retrouveront au chômage dès que les chinois gagneront les prochains appels d'offre d'équipements ferroviaire.

    L'intelligence économique ne fait semble pas faire partie des impératifs de la commission européenne ou de pires et obscures raisons 

     


  • Commentaires

    1
    Vendredi 8 Février 2019 à 14:03

    Fusion ou pas fusion, il me semble que le résultat sera le même  La Chine va nous manger. Parce qu'il me semble qu'on ne pourra,pas remonter sa puissance de construction de ces fameux trains. Ce qui, bien évidemment, ne doit pas nous empêcher de nous battre pour contrecarrer ses projets. Florentin

    2
    Vendredi 8 Février 2019 à 14:11
    loulou le filou

    On sera bouffé avec des baguettes !

      • Vendredi 8 Février 2019 à 14:39

        C'est triste mais que cela ne nous empêche pas de résister.

    3
    Vendredi 8 Février 2019 à 19:55

    Et dire que la Chine est en passe d'absorber tout ce qui a fait l'occident : la puissance de travail des chinois, grâce au nombre, n'est plus à démontrer. Pas étonnant qu'il y ait un bras de fer entre Trump et son homologue chinois (désormais élu à vie) : la guerre économique est celle d'aujourd'hui et elle est rude.

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :