Les patrons pleurent à chaque fois qu'ils le peuvent pour influencer le pouvoir pourtant ils se montrent de moins en moins reconnaissant envers ceux qui les financent par leurs impôts, les contres parties du pacte de responsabilité se feront attendre longtemps car elles n'ont jamais existées
Ceci explique le désamour entre l'entreprise et ses employés, le manque de respect des uns pour les autres est devenu monnaie courante, combien de fois les salariés se sont sentis floués par des dirigeants peu regardant avec la loi ou avec la morale. C´est pour cette raison que l'auto entreprenariat a autant de succès auprès des jeunes , tout simplement pour ne plus dépendre de patrons et rester indépendants, cela reste encore aujourd'hui  le seul moyen de sortir du chômage. Respecter la hiérarchie, oui, lorsqu'elle est respectable, car à coups d’automatisation des chaînes de fabrication et des délocalisations successives toutes effectuées sous la bienveillance des pouvoirs l ´emploi à fondu comme neige au soleil, écouter pleurer le patronat donne envie de vomir sachant que ces messieurs se sont mis tous seuls dans la moÏse en négligeant le pouvoir d'achat de leurs employés et en favorisant à outrance leurs actionnaires qui thésaurisaient , ce qui n’a jamais favorisé la reprise, il est vrai la crise n'a rien arrangée mais le mal était déjà fait….

Non, ce n’est pas une nouvelle publication, simplement une réédition..

Entre Nicolas Sarkozy et François Bayrou, l’histoire de haine continue de s’écrire… L’ex-président de la République semble n’avoir toujours pas digéré le soutien du patron du MoDem à François Hollande en 2012. Et après avoir comparé le maire de Pau au virus du sida (propos qu'il a nié avoir tenus), l’ex-président de la République se serait livré à une violente attaque selon Le Canard Enchaîné.

Dans son édition du 3 juin, l’hebdomadaire satirique affirme que le président du parti Les Républicains aurait lancé à des centristes de l'UDI : « De toute façon, le bègue, je vais le crever », en faisant référence au bégaiement dont à longtemps souffert François Bayrou.

Ce dernier, proche d’Alain Juppé, avec qui il échange régulièrement des SMS en latin, s’était, en mars, félicité de son rôle de bête noire du patron du parti Les Républicains. « C'est vrai que c'est un nouveau titre de gloire que d'être élevé au rang d'obsession de Nicolas Sarkozy, puisque [dans] tous ses meetings, toutes ses réunions, il y a forcément un passage obligé et de ce point de vue-là, ça donne à sourire et c'est rigolo », avait-il déclaré.

Je partage votre point de vue, c'est affligeant de constater à quel point un ancien président peut se dégrader à vouloir revenir aux affaires par tous les moyens , nous avons là un spécimen assez rare de la  connerie humaine. Surtout, qu'il ne soit pas élu dans l'intérêt du pays.