En achetant Bombardier pour 6 milliards d’euros, Alstom devient numéro deux mondial du train.

Un an après l’échec cinglant de la fusion avec son concurrent allemand Siemens, le groupe tricolore, numéro deux mondial du secteur, prend sa revanche et met la main sur le numéro quatre pour grossir et mieux se déployer autour du globe, alors que le train regagne les faveurs du grand public face au transport aérien, bien plus émetteur de gaz à effet de serre. ( le Monde) 

 Cette fois l’UE n’a pas eut l’outrecuidance de s’opposer à cette opération comme ce fut le cas pour le rapprochement des Siemens et Alstom que la commissaire européenne à la concurrence avait rejettée sans raisons valables laissant l’entreprise chinoise se renforcer sur un marché où le CRRC (China Railroad Rolling Stock Corporation) faisait office d’épouvantail mondial. 

Visiblement la commissaire concernée a finalement compris la situation mondiale et sortir de sa vision européenne étriquée .