Bien avant l’incendie de l’usine Lubrizol, les lacunes alarmantes des sous-traitants étaient connues. Comme les autres sites Seveso de la région, l’usine chimique avait recours à des sous-traitants. En 2010, un quart d’entre eux admettait taire des dysfonctionnements par crainte de sanctions. ( Le Monde )

Admirable immobilisme de l'administration , encore un service sous équipé qui ne fait pas ou ne peut pas faire son travail , l'absence de contrôle est flagrant . L'état lui même organise sa propre faillite en laissant pourrir des situations de danger sans intervenir ni exercer le moindre contrôle des sites du type Sevezo. Il va falloir prendre des sanctions drastiques contre les responsables de cette situation qui se traduira sans le moindre doute par d'autres catastrophes identiques à celles vécues par les habitants de Toulouse il y a quelques années et les  habitants de la région rouennaise aujourd'hui.

Ce nouveau monde qui prône tant l'exercice de réformes vient de rencontrer un nouveau sujet d'action , il y a urgence !