• Santé , rien ne va plus

      A la suite d’une erreur d’appréciation des autorités sanitaires, treize hôpitaux de la grande couronne parisienne s’apprêtaient à se retrouver, à partir du 4 novembre, avec un nombre insuffisant d’internes de médecine générale pour pouvoir maintenir l’ouverture sept jours sur sept et 24 heures sur 24 de leurs urgences pédiatriques. « On aurait eu un certain nombre de services d’urgences que nous n’aurions pas pu maintenir cet hiver, on allait vers une crise sanitaire », assure au Monde Aurélien Rousseau, le directeur général de l’ARS Ile-de-France.

    Il était temps de s'en rendre compte , c'est ainsi quand on ne sait penser qu'aux budgets et que l'on a négligé ce qui devrait être la mission principale. Après les urgences générales, les urgences pédiatriques sont en déconstruction par bétise humaine , le terme d'erreur d'appréciation veut dire conneries pour ne pas fâcher l'élixir de la santé publique. 

     A la surprise générale, l'ARS a annoncé, lundi 21 octobre, en début de soirée, qu’elle relançait la procédure de choix des quelques 490 internes de médecine générale de la région pour le semestre d’hiver 2019.

    En gros , on efface tout et on recommence , ce nouveau monde et ses méthodes m'étonneront toujours. C'est vrai, je suis vieux et je n'ai pas l'esprit de la start up nation que certains très hauts placés défendent avec l'énergie du désespoir. 

     

     


  • Commentaires

    1
    Vendredi 25 Octobre 2019 à 07:04

    on est dans le cafouillage…… bise 

      • Vendredi 25 Octobre 2019 à 08:16

        En gros on est dans , j'efface tout et je recommence .. Triste pour une administration. 

    2
    Vendredi 25 Octobre 2019 à 10:44

    Les autorités sanitaires sont bien malades !
    bonne journée
    Bernard

    3
    Vendredi 25 Octobre 2019 à 12:40
    loulou le filou

    C'est inquiétant.

    4
    Dimanche 27 Octobre 2019 à 11:18

    Entre le numerus clausus et cette bourde incroyable, non seulement la médecine est mal partie, mais également tout l'ensemble de l'éducation. A trop vouloir compter sur l'informatique et ses "possibilités" en oubliant les erreurs humaines potentielles, on ne peut qu'aller dans le mur. Plus rien ne m'étonne : c'est tellement logique...

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