• Nokia

    Nokia France veut supprimer 1 233 postes, soit un tiers des effectifs d’Alcatel-Lucent . Ces suppressions de postes concernent la recherche et développement (R&D) et les fonctions centrales sur les sites de Paris-Saclay et de Lannion (Côtes-d’Armor). 

    Nokia France emploie 5 138 personnes, dont 3 640 dans sa filiale Alcatel-Lucent. Cette entité faisait partie d’Alcatel-Lucent, que Nokia a racheté en 2015 dans le cadre d’une opération intégralement en actions valorisant le groupe français à 15,6 milliards d’euros. Ce rachat a été scruté de près par le gouvernement de l’époque, et notamment par son ministre de l’économie, le futur président, Emmanuel Macron. ( Le Monde )

    Une fois de plus l’activité de ce financier devenu président par défaut nous montre que son activité passée en tant que ministre ne fut pas si reluisante, après le désastre que fut la vente d’Alstom à GE , on se rencontre qu’Alcatel aurait dû être protégée plutôt que bradée comme elle le fut par un gamin qui ne connaissait rien au télécom, c’est vrai on ne peut pas tout savoir, mais on peut dans ce cas se renseigner.

    Ces erreurs de stratégie d’un homme même pas politique qui se croyait au dessus de lot pèseront lourd désormais, l’affaiblissement de notre industrie lui sera reproché.


  • Commentaires

    1
    Samedi 27 Juin 2020 à 09:53

    j'ai toujours été contre la privatisation... peut être parce que je n'appartiens à personne. sourire et bises

      • Samedi 27 Juin 2020 à 10:55

        Alcatel et Alstom étaient des sociétés privées vendus sous le contrôle de notre ministre de l'époque. Personne n'appartient à personne, la liberté est là ..

    2
    Samedi 27 Juin 2020 à 11:49
    loulou le filou

    Le pognon, tout est là !

      • Samedi 27 Juin 2020 à 12:21

        Oui, à court terme et avec de grands risques. 

    3
    Samedi 27 Juin 2020 à 16:10

    Le mal vient de la mondialisation qui a permis à quelques groupes de bouffer les plus petits. Rien d'étonnant donc que ces groupes, quels qu'ils soient, profitent du moment où l'industrie est mal en point, pour clairsemer les rangs. C'est en quelque sorte, la loi de la "guerre".

      • Samedi 27 Juin 2020 à 16:32

        La mondialisation a peut être accentué ce déclin , mais c’est surtout l’attitude d’indifférence des pouvoirs public qui ont laissé partir ces activités en s’en félicitant. Une gloriole très chère payée par un ministre qui à l’ambition démesurée.

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