• Meurtres de femmes

    Dans ces affaires, 85 % des auteurs sont des hommes et 83 % des victimes sont des femmes. Les faits ont été commis de jour comme de nuit et majoritairement par arme, le plus souvent par arme blanche. Le document révèle également que dans 41 % des 88 cas de crimes conjugaux étudiés, la victime s’était déjà signalée.

     Face à ces chiffres, Nicole Belloubet reconnaît que « la chaîne pénale n’est pas satisfaisante. Ce rapport met le doigt sur les difficultés et les dysfonctionnements ». La ministre souligne notamment la « difficulté pour les personnes qui recueillent les plaintes de mesurer la réalité et l’ampleur du danger. C’est pour ça qu’elles doivent être formées », insiste-t-elle. (le Monde)

    Iaura fallu du temps à la ministre pour se rendre compte de la situation , l’immobilisme de la justice et de la police devrait faire honte au pouvoir qui tarde à prendre les mesures qui s’imposent , agir rapidement et ne pas attendre que le meurtre  s’accomplisse , comme c’est actuellement le cas , les plaintes déposées par ces femmes en danger doivent être prise en compte et les délinquants violents doivent être punis sévèrement.

    Ce nouveau monde peine à sortir de la justice sexiste et ne sait pas intervenir efficacement contre cette délinquance masculine  avec la rigueur qui devrait s’imposer .

     


  • Commentaires

    1
    Vendredi 22 Novembre 2019 à 07:42

    j'ai trouvé la solution, je vis seule… J'ai une amie qui est allé se plaindre au commissariat et qui a porté 2 fois des mains courantes pour harcèlement sexuel au travail sans aucune suite; l'une n'a même pas été consignée par écrit.. Je lui avais conseillé de responsabiliser son employeur qui lui devait protection, il a aussitôt réagi en éjectant le mec responsable.. 

    ce n'est pas facile d'aller conter ses malheurs au commissariat.. Je pense qu'il devrait y avoir d'autres structures intermédiaires d'accueil et de prises en charge. autre que les associations.

    bise Jean

      • Vendredi 22 Novembre 2019 à 08:25

        Le vrai problème , ce sont les hommes et le manque d’education qu’il faut renforcer au plus vite, Tout commence par la maison et l’école , enfin avoir une police et une justice responsable. 

    2
    Vendredi 22 Novembre 2019 à 10:16
    loulou le filou

    Et les femmes qui élèvent leur fils comme des rois, ces fils qui se rendent compte dans la vie qu'ils ne sont pas des rois.

    3
    Vendredi 22 Novembre 2019 à 22:25

    La police a du mal à entre ces plaintes et n'agit souvent que lorsqu'il y a du sang. ' Il faudrait la responsabiliser quand il y a un drame et qu'elle n'a pas bougé. Elle réfléchirait avant de classer l'affaire. Florentin

    4
    Samedi 23 Novembre 2019 à 01:55

    Si les tribunaux étaient moins encombrés, la justice passerait mieux. Manque de temps, manque de personnels (notamment les greffiers), manque de moyens financiers... Et vu qu'une juge a décrété que le tribunal n'était pas le bureau des pleurs... Ces femmes tuées par le conjoint ne sont jamais entendues : l'oreille du policier ou du gendarme n'est pas formée pour entendre pareilles plaintes. Sans compter que le sexisme est fort répandu... Alors...

      • Samedi 23 Novembre 2019 à 07:55

        Ce n’est qu’un manque d’humanité , la sélection des métiers de la police n’est pas assez sélective de ce point de vue.

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