• Droit de reponse

    Le journaliste Gaspard Glanz, interpellé samedi 20 avril lors de l’acte 23 des « gilets jaunes », s’est vu remettre lundi une convocation pour être jugé le 18 octobre au tribunal de Paris, ont fait savoir ses avocats. Il sera jugé pour « outrage sur personne dépositaire de l’autorité publique », selon Me Raphaël Kempf et le parquet de Paris.D’ici cette date, il a pour interdiction de paraître à Paris tous les samedis et le 1er mai, conformément aux réquisitions du parquet, a indiqué son avocat.

    Quelques conseils , évitez les lieux où il y a concentration de forces de police si vous portez une caméra ou un appareil photo , brandir ces appareils est pris pour une agression à laquelle la réponse est très souvent musclée et distribuée sans jugement ni défense.   Sourtout dispensez vous de montrer un doigt d'honneur à ces défenseurs de l'ordre public, cette manifestation de mauvaise humeur sera prise comme une agression voire un outrage.  Les coups de matraque et les bousculades ne seront pas prise en compte car sans preuves. 

    Comme ce monde là est malade, il frise parfois l'extrême ou seule la force brutale à raison de toutes situations. 


  • Commentaires

    1
    françoise
    Vendredi 26 Avril 2019 à 07:44

    je n'ai pas suivi cette affaire..je suis contre les casseurs et cette violence débile qui n'a aucun projet si ce n'est de la violence et encore de la violence.. bonne journée

      • Vendredi 26 Avril 2019 à 08:56

        Je ne soutiens pas les casseurs mais je dénonce les comportements de certains policiers à l'encontre des journalistes par ailleurs nécessaires à notre démocratie. 

    2
    Vendredi 26 Avril 2019 à 09:58

    Je n'ai pas entendu parler de cette affaire. Je viens de me renseigner : une grenade de désencerclement dans les guiboles, ça n'est pas anodin. Dommage que les images ne soient pas davantage parlantes : le street-journalisme n'est pas de tout repos, mais surtout, filmer avec une caméra sur un casque, ça ne montre pas forcément tout. Ne serait-ce que parce que ça bouge trop.

    Je peux comprendre la réaction de ce journaliste et qu'il ait fait un doigt d'honneur puisqu'il était, en quelque sorte, agressé. Ce que je ne comprends pas c'est non seulement le coup de la grenade, mais également le prétexte choisi pour le mettre en garde-à-vue. J'ai cru comprendre qu'il n'était pas le premier à se faire 'agresser' ainsi. Question : les journalistes sont-ils de furieux provocateurs quand ils font leur métier ?

      • Vendredi 26 Avril 2019 à 10:27

        Tu résumes bien la question ..

    3
    Vendredi 26 Avril 2019 à 10:41
    loulou le filou

    Vous m'en mettrez un doigt ! Comme dit le poète...

    4
    Vendredi 26 Avril 2019 à 12:58

    et donc les doigts d'honneur sont désormais interdits. Mais pas les matraques...

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