• Une justice négociée pour mieux lutter contre les pollueurs

    Le projet de loi, voté mardi au Sénat, permettra aux procureurs de négocier avec les entreprises une amende et la réparation du préjudice écologique.

    Cet outil de justice négociée, créé en 2016 par la loi Sapin 2, permet aux procureurs de la République de négocier avec les entreprises une amende et des mesures correctives en échange de l’abandon des poursuites pénales. ( Le Monde )

    Une justice négociée aux intérêts des entreprises, pour sauver les emplois peut être et blanchir plus facilement les contrevenants. Que le population perde la santé ne rentre pas en ligne de compte. 

    Le nouveau monde permettra de polluer et d’effacer les ardoises en toute quiétude.


    6 commentaires
  • Voyage jour 4 

    14h00 

    Il fait chaud sur ce chemin, nous nous arrêter pour reprendre quelques forces. Nous avons donné un nom  à notre chien qui maintenant vient se faire caresser, Félicité n’a plus peur de Max. Il  est assez docile, il est devenu indispensable pour notre sécurité. Souvent,  il nous devance en éclaireur, sa prudence nous évite les pièges et les mauvaises rencontres, comme celle que nous avons failli faire hier. Nous voulions nous approcher d’une maison, Max  nous en a dissuadé en grognant méchamment. Il n’avait pas l’intention de nous suivre sur ce chemin , alors nous avons fait marche arrière , grand bien nous en a pris. 

    Nous avons entendu crier et hurler à l’intérieur de cette maison, des brigands sans doute qui ont du trouver alcool et mangeaille. On a entendu des bruits de vaisselle brisée, de verres cassés, comme si ces gens s’acharnaient à briser tout ce qui leur passait entre les mains. Pure sauvagerie, vite , nous nous sommes éloignés de cet endroit,  je sais qu’il nous faudra dorénavant nous montrer très prudent . Nous risquerons de rencontrer ce genre d’individus. 

    Félicité pour la première fois a montrée son inquiétude, nous avons roulé plusieurs heures avant de nous arrêter. Nos machines sont très utiles et elles nous ont permis de nous éloigner rapidement de ce lieu. Ce monde n’est plus désert, il est dangereux, la plus grande prudence s’impose, nous devons nous armer de gourdins ou de pics pour assurer notre défense. A une prochaine étape, quand nous retrouverons un abri sur, je fabriquerais ce dont nous avons besoin  pour nous défendre. 


    2 commentaires
  • Plusieurs milliers de personnes ont participé à une « marche nocturne » pour un « féminisme populaire antiraciste », samedi 7 mars à Paris, à l’appel de collectifs et d’associations féministes.

    Comme le montrent les images du journaliste Rémy Buisine présent aux abords de la place de la République samedi soir, les forces de l’ordre ont chargé les manifestantes avant de tenter de disperser la foule avec du gaz lacrymogène. ( Le Monde )

    Les policiers sont toujours aussi c .. Triste constat considérant la marche nocturne des femmes qui entendaient défendre leurs droits et l’intervention musclée de ceux qui devaient les protéger. 

    Au palais il devrait y avoir des gugusses qui devraient avoir honte , quand on rêve de grandeur on adopte des comportements en accord avec les situations et on ne laisse pas faire n’importe quoi   aux malades de la matraque.


    6 commentaires
  • Voyage jour 2 

    La route 9h00
    Nous nous sommes réveillés, la lumière du jour filtrait sous les volets de bois, comme à regret nous nous sommes préparés pour continuer notre route, nous avons discuté de notre avenir, et nous sommes tombés d’accord,  il faut que nous nous éloignons de la ville pour éviter de tomber entre les mains des Résidents de Droits qui pourraient patrouiller dans les parages, les tours mènent la guerre à titre préventif, en l’honneur du drapeau, un reste militariste sans doute,  et surtout pour la survie du système.

    Un rapide déjeuné, nous avions préparé nos provisions, il me reste des biscuits et des pastilles énergétiques, nous en ferons notre repas,  ce matin avant d‘enfourcher nos machines. Je met le nez dehors avec précaution pour vérifier que nous n’auront pas de mauvaise surprise, je vais jusqu’au chemin d’accès, tout va bien, sauf que je sens comme un présence derrière moi, un souffle, un grognement peut être, sorti d’un taillis, un chien de bonne taille me suit, à bonne distance, il ne semble pas avoir de sentiment belliqueux, curiosité sans doute, je me souviens d’avoir vu sur mes anciens films que les anciens avaient souvent des animaux à leur coté,  des animaux de compagnie. 

    Confiance et amitié réciproque. Je ne me risquerais pas de l’approcher, je vais attendre qu’il vienne de lui même. Un animal de compagnie, une idée nouvelle. Je reviens à la maison et invite Félicité à me suivre, et lui montre l’animal, elle n’est pas très rassurée. Il est temps de partir, je dépose au sol un morceau de biscuit, je m’ éloigne et  j’attends que la bête vienne s’en emparer, ce qu’elle fait sans se faire prier. 

    En confiance, nous montons sur nos machines et nous nous reprenons notre route, à trois. Le chien nous suit, parfois il nous devance, puis attend que nous arrivions à sa hauteur. Alors, je lui lance en récompense un morceau de biscuit,  il comprend très vite le manège. Nous nous faisons, un nouvel ami, à quatre pattes. 


    2 commentaires
  • C’est une publicité qui n’apparaîtra pas dans le métro parisien. Pour alerter sur l’urgence climatique et dénoncer l’inaction des décideurs politiques, Greenpeace souhaitait diffuser dans les couloirs du métro et du RER francilien une campagne de communication au message fort. Mais la régie publicitaire des transports parisiens Mediatransports s’est opposée à sa diffusion, tout comme plusieurs cinémas, a fait savoir l’ONG dans un communiqué paru lundi 2 mars.

    « Face à l’urgence climatique, les discours ne suffisent pas », peut-on lire sur les affiches de la campagne qui illustrent des évènements climatiques extrêmes, comme la fonte des glaces ou les inondations. En bas de page, il est inscrit ce message : « Le gouvernement doit agir », ou encore « mobilisons-nous pour mettre un terme à l’inaction des décideurs politiques ».

    Un sujet sensible qui pourrait déranger le pouvoir déjà enlisé dans sa mauvaise réforme des retraites, visiblement même la liberté d’expression est aussi malmenée que celle du droit de manifester grâce aux brutalités policières. Il paraît que nous sommes en démocratie au point où pour pouvoir être élu les candidats Marcheurs se présentent sans étiquette. 

    Un signe de défiance populaire rarement atteint par un parti et une gouvernance. 


    4 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique