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Aveux !
Emmanuel Macron a estimé que la France « au fond a peur » et regretté « une crise de confiance ». « Notre pays au fond a peur, il a une crise de confiance à l’égard de lui-même. On est loin d’être les pires mais nous avons un doute permanent sur notre pays. » Le chef de l’Etat a reconnu être l’objet « d’une détestation » alimentée parfois par ses propres « maladresses »..
« Les gens se sont mis à détester ce président qui voudrait tout réformer pour que ce ne soit que les meilleurs qui puissent réussir », « ça n’est pas mon projet mais le jeu des maladresses, parfois des phrases sorties de leur contexte », a-t-il assuré.
Des phrases issues de sa formation, à être presque sans arrêt félicité de faire parti des élus, des meilleurs et de ceux qui tôt ou tard deviendront les maîtres du système. L’élève a fini par croire ce que les professeurs du sérial disaient. Le sentiment de supériorité a fini par s’installer durablement en laissant apparaître un comportement arrogant et blessant qui ne sont pas des maladresses mais bien issus des sentiments du premier de la classe comme cela fut étendu par lui même par l’expression des premiers de cordée, la place des meilleurs.
L’humilité ne fait parti de la formation et c’est bien dommage.
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Commentaires
Oui il fait partie du sérail (et non du sérial). Une fois dit dit cela, que proposer pour que quelque chose change ? Vu que je ne crois pas aux miracles...
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Dimanche 19 Juillet 2020 à 21:53
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Les premiers seront les derniers.
Sans doute, dans l’esprit de la V république, il ne sera pas le meilleur, sans doute le cancre au fond de la classe.