La réforme controversée de la sûreté nucléaire en débat à l’Assemblée nationale  
Aujourd’hui, la régulation des risques nucléaires et radiologiques est assurée principalement par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Autorité administrative indépendante, son autorité morale n’a jamais été mise en cause, son arsenal juridique s’est renforcé au cours du temps, et elle jouit d’un capital de confiance certain auprès du public. Depuis sa création, elle n’a perdu aucune bataille face aux pressions industrielles, réussissant à imposer des mesures, coûteuses mais justifiées, de renforcement de la sécurité à la suite de la catastrophe de Fukushima, en 2011. D’autres autorités participent également à cette régulation dans les domaines de la défense nationale, des risques professionnels, de la santé, des risques industriels. ( Le Monde )

Le président veut encore modifier l’organisation des autorités nucléaires , cet homme ne possède aucune connaissance technique . Il ne cherche qu’à réduire le nombre de personnes dans ces deux entreprises pour que l’activité nucléaire revienne moins chère et que les délais de réalisation soient plus courts.
Comme d’habitude un homme politique ne comprend rien aux techniques ni aux obligations de sécurité , le président n’a rien aucune compétence dans ses domaines et ferait mieux de s’abstenir de toute modification de l’organisation de l’autorité de sécurité nucléaire ( ASN)  et de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) , il n’y a rien à gagner à cette fusion à part les risques d’erreurs et de malfaçons. Ce serait organiser une détestable régression. 

Fumes pas, tu pollues

tssss, je défends la filière tabacologique , comme on défend notre PIB par la pollution climatique.

Elections européennes 2024 : avec treize points d’avance, le RN continue de creuser l’écart avec le camp présidentiel
La liste du parti d’extrême droite mobilise un électorat de plus en plus large et solide, tandis que Renaissance et ses alliés souffrent d’une mobilisation déclinante, selon la troisième vague du sondage Ipsos réalisée pour « Le Monde », le Cevipof, la Fondation Jean Jaurès et l’Institut Montaigne. ( Le Monde )

Macron est en train de constater les effets négatifs de sa politique menée tambour battant, sourd aux protestations de la population , ignorant les réactions négatives des syndicats pendant la réforme des retraites et des manifestations populaires suscitées par ce projet impopulaire. Le président va enfin mesurer l’écart qui existe entre ses volontés et celle du peuple. Le «  en même temps «  n’a jamais existé et ne fut qu’un leure pour développer une politique de droite faisant de lui le président des riches.  
Aux prises de la révolte des agriculteurs , rien n’a été fait, si ce n’est des grandes paroles vides de sens pendant le salon de l’agriculture.  Finalement le macronisme n’est que du vent pour des paroles envolées et des promesses jamais tenues.  Le président n’est pas meilleur en gestion quand on considère avec horreur l’état de nos finances et le montant encore jamais atteint de nos dettes.  

Plus, encore plus

Ceci n'est pas la marque d'un manque mais bien  celle d'une envie de domination.

Maia Sandu, présidente de la Moldavie : « Il n’y a rien de plus important que d’aider l’Ukraine à gagner cette guerre »  
La dirigeante de ce pays frontalier de l’Ukraine estime que son intégration européenne est une question de « survie ». Elle a signé, jeudi, un accord de coopération de défense, à Paris, avec le président Emmanuel Macron. ( Le Monde ) 

L’intervention de la Poutine en Ukraine fait craindre que ce dernier se laisse emporter par sa folie furieuse au point d’envahir la Moldavie voisine de l’Ukraine et ayant elle aussi fait partie du territoire de la Russie communiste. La participation à l’UE de la Moldavie est une sécurité que ce pays cherche à obtenir, il y va de sa survie, considérant la situation de l’Ukraine.