• Le vert se paie cher

    Lors du premier budget de l’ère Macron, le sujet avait été éclipsé par la polémique sur la suppression de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Mardi 16 octobre, en fin d’après-midi, la hausse de la fiscalité verte a enflammé les débats de l’Assemblée, où se déroule, depuis lundi, l’examen du projet de loi de finances (PLF) 2019.

    « Pour les catégories qui travaillent, (…) c’est une bombe atomique. Nos concitoyens vont se révolter, et ils auront raison ! », a fustigé le député (Les Républicains, LR) des Côtes-d’Armor Marc Le Fur. « Le problème, c’est celui de l’acceptabilité de la fiscalité écologique quand elle vient se heurter au mur des réalités sociales. On a besoin de dispositifs pour soutenir ceux qui ont un pouvoir d’achat limité, notamment les ouvriers », a abondé son collègue socialiste de l’Aisne, Jean-Louis Bricout. Enfin, Fabien Roussel (Parti communiste, PCF, Nord), a complété la salve : « Prendre dans le portefeuille des Français sous prétexte de répondre au défi climatique, ce n’est pas la bonne solution. »

    les seuls qui restent muets sont les Marcheurs visiblement encombrés par leur fidélité sans faille au gouvernement et surtout par le fait qu'ils ne représentent que des cadres , l'élection du président fut une élection par défaut pour faire barrage au FN . Le pouvoir donné à l'assemblée d'opportunistes va se payer cher , le président des riches le restera , il aurait souhaité introduire en ces temps de vaches maigres une taxe écologique , histoire de freiner l'usage des bagnoles et en tirer profit comme le fit le gouvernement avec les 80 m/h , pour les autres ce sera un plongeon dans la précarité où se séparer de sa voiture. 


  • Commentaires

    1
    Dimanche 21 Octobre 2018 à 07:22

    quand la nature ne sera plus on bouffera nos billets.. le français est contre toute réforme.

    revoir ses priorités en tant que citoyen..

    2
    Dimanche 21 Octobre 2018 à 09:40
    loulou le filou

    On n'a pas les bonnes personnes au pouvoir, c'est aussi simple que ça...Les français sont peut être contre les réformes, mais celles qu'on se prend dans la gueule en ce moment ne sont pas piquées des vers !

    3
    Jeudi 25 Octobre 2018 à 13:19

    Faut-il s'étonner de ce que les marcheurs votent comme un seul homme ? Les directives sont essentielles à l'ère Macron, la dissidence n'est donc pas de mise. Même si certaines voix commencent à s'élever contre les mesures prises ?  La consigne est d'avoir le doigt sur la couture du pantalon. Il faut noter que certains qui s'étaient ralliés à la majorité ont coupé les ponts avec elle et ont rallié les rangs de l'opposition. mais l'hémorragie n'est pas encore assez puissante pur que survienne un rééquilibrage de la politique. N'oublie pas le "C'est moi le chef" impérieux lancé contre le général de Villiers. Drôle d'époque où la voix devient totalitaire et n'admet aucune contestation. Un jeu dangereux car en taxant plus que de raison les retraités, au prétexte qu'ils se montreraient dispendieux envers leurs petits-enfants, la grogne monte et même si, aujourd'hui, les quelques millions de "vieux" ayant travaillé toute leur vie et songeant d'abord à leur famille, n'ont pas de vrai pouvoir pour contrer la politique, il est certain qu'ils n'oublieront pas ces errements odieux quand il faudra glisser un bulletin dans l'urne.  Alors le coup de bagnoles qu'il faut taxer davantage en augmentant le prix de l'essence n'est qu'un pas de plus dans l’absurde vision du jeunot. Il doit être idiot pour n'avoir pas encore compris qu'en agissant ainsi, il se met à dos, la polis grosse masse de la population. On peut sans doute donner dans la superbe du pouvoir, mais cela aura un coût. Soyons patients

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