• Faire le bilan !

    Suppression de l’ISF et « flat tax » « sont la partie des réformes la plus sujette à discussion. Nous ne sommes aujourd’hui pas capables de démontrer que ces mesures, très concentrées sur les très hauts revenus, ont des effets incitatifs majeurs sur l’investissement et l’emploi », concluait Antoine Bozio, le directeur de l’IPP. En revanche, ces deux mesures gonflent le portefeuille des 0,1 % de Français les plus riches de 86 000 euros par an en moyenne.

    Un bilan s'impose sur la décision du président des riches de supprimer l'ISF , le bilan est impossible à faire, alors cette décision est une connerie parce que impossible à justifier et pas loin d'être injustifiable surtout si l'on veut lutter contre les inégalités supportées par les populations qui composent les gilets jaunes , l' ISF supprimée n'apportait rien de plus au confort de  ceux qui devaient l'acquitter. 

    Quel avantage pour qui , pour quels copains , pour quels remerciements en regard de la première décision prise par le président nouvellement arrivé au pouvoir , et surtout pour l'instant sans effet sur l'emploi tel que l'avait imaginé l'élu , était ce une illusion ou une supercherie ? 

     


  • Commentaires

    1
    Vendredi 7 Décembre 2018 à 07:01

    c'est toujours difficile de se taxer

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    2
    Vendredi 7 Décembre 2018 à 09:34
    loulou le filou

    Une équipe de bons à rien ne peuvent faire rien de bon !

    3
    Vendredi 7 Décembre 2018 à 10:24

    Ces mesures reposaient sur le concept que l'argent serait employé à créer de l'emploi. Ce n'est pas vraiment faux. mais c'est vrai que c'était un sacré coup de poker. Sans argent et donc sans gens riches, rien ne serait possible. Il est tout aussi vrai qu'il faut des instruments pour juger de la capacité de cette décision à inverser le processus du chômage. C'est vrai que c'est une mesure libérale. Mais l'époque est libérale, il faut donc libérer les contraintes financières. Sur le fond, ce n'était donc pas une mauvaise idée. Reste donc à savoir comment contrôler où vont les capitaux afin de savoir si la suppression de l'ISF a permis de résorber le chômage. Apparemment, tout comme pour le CICE, aucun contrôle n'avait été envisagé. Et pourtant, ce ne devait pas être compliqué puisque, aujourd'hui, les programmes informatiques sont des outils qui peuvent tout calculer et bien plus rapidement que ne le fera jamais l'homme.

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