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Du berger à la bergère
Le 10 décembre 2018, une personnalité japonaise de premier plan était interrogée, en toute discrétion, par la justice française. Selon les informations du Monde, Tsunekazu Takeda, président du Comité olympique japonais et maître d’œuvre des JO de Tokyo 2020, a été mis en examen du chef de « corruption active » par le juge d’instruction Renaud Van Ruymbeke.
Les japonais ne sont pas au dessus de tout soupçon , la preuve , après le grand déballage de chez Nissan qui a outré la justice nipponne au point d'incarcérer le PDG de l'alliance avec de velléité de prise de contrôle de cette organisation au profit des cadres japonais , le président du comité olympique japonais devrait lui aussi croupir dans une geôle française en guise d'équivalence de traitement , la corruption est bien un très vilain délit qu'il conviendrait de punir avec la même sévérité que les délits reprochés au PDG de Renault alors que ce dernier n'a pas encore été jugé .
C'est sans doute une technique japonaise que de mettre la charrue avant les bœufs , punir d'adord et juger ensuite.
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Commentaires
Du Japon, je ne retiens que les haîkus
... les tueurs de baleines me dégoûtent !
bonne journée
BernardHé, hé hé, on est impuissant à savoir ce qu'il en est de C.G. et de ses 'turpitudes", en revanche, la réponse à cette impuissance est la mise "sous scellés" d'un japonais (important ?). tu crois qu'il y aura échange d'otages ?
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la pureté n'est plus de ce monde.. bonne journée Jean.