• Double effet

    Jupiter a tellement bien été élu , il a tellement bien œuvré que les partis politiques de l'ancien monde ont été démolis au profit d'une bande d'opportunistes qui oublient de réfléchir avant de voter, La politique des réformes du contrat de travail, la réforme de la SNCF ont miné les syndicats en les décrédibilisant. 

    Pour sortir de l'ornière ou l'excès de taxes issu de la politique de Jupiter nous ont embourbé , ces corps intermédiaires font défaut au pouvoir qui ne peut trouver des organisations susceptibles de permettre l'ouverture de dialogue entre les manifestants et le pouvoir qui ne sait plus à qui parler.  Le succès des Marcheurs grâce à l'absence de toute  opposition est la cause des difficultés de sortie de crise , en effet il n'y plus d'interlocuteurs crédibles. 

    Associée à cette situation ni les décisions ni les paroles du gouvernement ne rencontrent pas la confiance des manifestants restant sur leurs gardes.  

    Un sacré retour de manivelle finalement. 


  • Commentaires

    1
    Lundi 10 Décembre 2018 à 08:39

    Un retour de manivelle
    ... il faudrait qu'il le reçoive sur la tête pour qu'il dégage !

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    2
    Lundi 10 Décembre 2018 à 09:38
    loulou le filou

    Dehors lui et ses incapables !

    3
    Lundi 10 Décembre 2018 à 17:58

    Lors des batailles menées par les syndicats pour défendre, par exemple, le code du travail, personne ne les a aidés, personne n'est descendu dans la rue, on les a laissés seuls. Faut pas pleurer maintenant s'ils sont décrédibilisés. Florentin

    4
    Mercredi 12 Décembre 2018 à 14:13

    Les syndicats ont un rôle à jouer, mais il faut aussi se souvenir qu'ils n'ont pas toujours, sur le plan national, été à la hauteur de leur mandat. Alors qu'au plan local, ils étaient entendus. Cherchez l’erreur. Les nationaux qui ferraillaient avec les gouvernements successifs ont fini par "copiner" avec le pouvoir et surtout ils s'en mettaient plein la poche. Pas étonnant qu'ils n'aient plus eu droit à la confiance des syndiqués, lesquels ont fini par les lâcher. Ce n'est pas pour rien qu'on a les gilets jaunes qui manifestent : ils se représentent eux-mêmes.

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