• Courageux ou téméraires

    Plusieurs représentants du gouvernement français se rendent à Tokyo mercredi 16 janvier pour une série de rencontres avec les différents protagonistes du dossier Renault-Nissan, en vue de préparer l’après-Carlos Ghosn, a indiqué Bercy mardi soir. Participeront notamment à ce voyage Martin Vial, directeur général de l’agence des participations de l’Etat (APE), et Emmanuel Moulin, directeur de cabinet du ministre de l’économie et des finances Bruno Le Maire, a détaillé Le Figaro.

    Aller au Japon dans un climat de défiance vis à vis de la gouvernance de l'alliance Renault Nissan est dangereuse surtout au Japon , quand on constate avec quelle rapidité un gouvernant peut se retrouver en quelques heures en prison pour des mois afin de converser avec un juge 8 heures par jour avec à la clé trois bols de riz  , une cellule monacale éclairée de façon permanente . 

    Ces hommes politiques français n'ont pas froid au yeux vue la situation , les japonais voudraient sans doute par tous les moyens prendre le contrôle de cette alliance sachant que Nissan est le véritable moteur de la réussite internationale de cette organisation . 

    C'est beau , tout de même la confiance ! 

     


  • Commentaires

    1
    Samedi 19 Janvier 2019 à 07:30

    ce serait une déclaration de guerre s'il leur arrivait malheur.

    bonjour jean

    2
    Samedi 19 Janvier 2019 à 10:31
    loulou le filou

    Trois bols de riz, en voilà un régime qu'il est bon pour la santé !

    3
    Dimanche 20 Janvier 2019 à 14:19

    C'est vrai, j'y regarderais à deux fois avant de m'envoler pour ce pays. Je crains qu'on ne saura jamais quels sont les vrais dessous de cette affaire et surtout quant à l'ignominie d'une arrestation qu'aucun signe ne pouvait laisser supposer. Les différents chefs d'accusation s'accumulent. Sans doute là-dedans y a-t-il une sorte de revanche de la part du Japon, peuple orgueilleux et intransigeant quant à l'honneur. Une question : était-il bien normal que la répartition des dividendes ait été aussi peu équitable ? Après tout, la puissance retrouvée de Nissan, grâce à Carlos Ghosn, aurait du être mieux partagée.

    4
    Dimanche 20 Janvier 2019 à 17:44

    Il s'agit surtout d'une affaire de pouvoir de votes , Renault a 45 % des valeurs de Nissan qui possède 15 % de Renault .. 

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