• Cause toujours

    C’est une première. Dans une interview au quotidien allemand FAZ du vendredi 29 mai, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde a confié qu’une sortie de la Grèce de l’euro (le « Grexit ») était une « possibilité », qui ne signifierait « probablement pas » la fin de l’euro. Une déclaration qui en dit long sur les pressions qui s’exercent en coulisse sur Athènes.

    De quoi je me mêle , cette femme n’a aucune compétence pour s’exprimer à quel titre que ce soit au nom de l’UE, sa fonction s’arrête à la présidence du FMI qui n’a aucune relation fonctionnelle auprès de l’UE. D’ailleurs FMI qui n’a su que prodiguer des conseils plus que déments afin de sortir les Grecques de la crise par l’ obligation de maintenir l’austérité, qui comme chacun sait n’a fait que détériorer la situation économique du pays.  

    On retrouve là la personne qui fut ministre des finances du sieur Sarkozy et qui avait proposé aux français de faire du vélo à la place de rouler en automobile lorsque le prix du baril de pétrole s’envolait. On retrouve bien là un activisme de droite libérale autoritaire et sans esprit.


  • Commentaires

    1
    anto
    Vendredi 29 Mai 2015 à 16:37
    anto

    Égale à elle même ,la nullitude .....

    2
    Vendredi 29 Mai 2015 à 21:22

    Que la présidente du FMI réponde a une question d’un journaliste pourquoi pas, qui plus est si cette question se rapporte a un problème monétaire internationale !!

     

    on peut débattre sur le contenu de sa réponse il s’agit la d’apprécier justement ou non  la situation exacte  de Grèce face a l’Europe. Il y a bien sept ans que la crise de la dette a frappé l’Europe, pour faire face a cette réalité les pays se sont organisés suivant leur moyens pour palier a cette calamité et ce n’ai pas une mince affaire ! manifestement les Grecques on fait le choix de se dresser contre les autorités Européennes qui depuis sept ans  conseille de reformer leur pays et parallèlement lui octrois les crédits indispensables a leur survie, las des tergiversations de ses élites incapables d’entreprendre la moindre reforme, le peuple  grecque a désignés dans les urnes  Syriza, un partie d’extreme gauche dans l’espoir d’une sensible amélioration de leur vie, nous assistons a une partie de bras de fer avec dans la balance des promesses électorales attendue par les citoyens  promesses qui sont à l’opposé des mesures souhaitées par l’Europe ,la négociation est rude et la réflexion de la présidente du FMI nous fait comprendre que l'aboutissement de cette crise peut se traduire par un clash  pour les grecques et un grand et dramatique point d’interrogation.

    3
    Vendredi 29 Mai 2015 à 22:59

    @foujuste, vous êtes content, vous avez retrouvé vos allégations coutumières contre la gauche, problèmes de mémoire ou pire ? 

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    4
    Samedi 30 Mai 2015 à 03:57

    Les allégations et la situation du peuple Grecque me semble plus importante que le classique et lassant clivage droite gauche !! ce qui n'interdit pas d'appeler un chat un chat dans le cas présent admettre sans idéologie les réflexions de la présidente du FMI personnage respectable et compétent !!

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