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Brexit ?
L’accord de divorce avec l’UE présenté par la dirigeante conservatrice a été rejeté, mardi, avec 230 voix d’écart au Parlement britannique. Soit « la plus vaste défaite d’un gouvernement en exercice », souligne la BBC.
Les tabloïds, eux, prenaient moins de pincettes. « L’humiliante défaite de Theresa May sur le Brexit après deux ans à faire passer le Parti conservateur en premier (…) laisse le Royaume-Uni face à un “no deal” [une sortie de l’Union européenne sans accord] catastrophique », jugeait par exemple le Daily Mirror.
La course après deux objectifs ne peuvent pas induirent à la victoire , obtenir un accord acceptable pour tous de sortie de l'UE et rester au pouvoir devant une assemblée très divisée sur le sujet de sortie de l'union européenne.
Les arguments du référendum qui ont statué à la décision de sortie de l'union n'avaient jamais envisagé les difficultés à surgir de cette séparation , l'opinion publique par ailleurs s'est rendue compte des pertes qu'allaient provoquer cette rupture.
Finalement , après deux ans de négociation personne se sait ce que sera le Brexit , avec ou sans accord , ou même sans Brexit du tout.
Messieurs les anglais , tirez les premiers, l'union a déjà fait tous les efforts qu'elle pouvait consentir.
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Commentaires
un méli mélo auquel je ne comprends rien.. j'ai commandé un piano de cuisson falcon, il mettra au moins 8 semaines à venir d'Angleterre.; cela ne me rassure guère.. bonne journée Jean.
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Vendredi 18 Janvier 2019 à 14:50
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Je ne sais pas pourquoi on prend autant de gant pour cette sortie
il faut les virer, un poing (oui, avec un g !) c'est toutTout le monde y laissera des plumes. les Anglais bien sûr, mais aussi l'Europe. Mais les choses sont allées trop loin pour que les Anglais puissent revenir en arrière et reprendre leurs esprits. Ils sont condamnés à partir. Ils n'auraient jamais dû mettre le doigt dans l'engrenage? D'autant qu'ils bénéficiaient en Europe d'un statut particulier et protégé.
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Eh oui, les Anglais sont dans une impasse... Mais pas qu'eux : l'Europe l'est également. Mais la plus grosse difficulté de Madame May est qu'un vote récent du parlement lui impose seulement trois jours pour trouver la sortie. Elle va devoir s'ingénier à convaincre ledit parlement de voter dans le sens des intérêts (au moins immédiats) des britanniques.