• Sans idéal, la main tendue en une quête qui ne leur fait pas honneur

     


    1 commentaire
  • Vous prenez un zeste de promesses sociales, vous saupoudrez de xénophobie et vous ajoutez quelques bonnes mœurs catholiques, et vous avez le retour des conservateurs au pouvoir

    C'est exactement ce que la Pologne vient de faire en se retrouvant avec une extrême droite au pouvoir, la peur des étrangers et des migrants à donné aux polonais un pouvoir aussi stupide que celui qui œuvre en Hongrie. Ces gens là ne veulent pas sortir de l'EU bien qu'aucun n'apprécie vraiment  Bruxelles , pourtant l'UE est folle de soutenir un tel état qui ne cherche qu'à détruire tout ce qui a été construit depuis plus de 60 ans.

    la Pologne recevra 82,5 milliards d’euros entre 2014 et 2020, soit l’équivalent de son budget annuel. Cette dépendance à l’égard des fonds structurels européens, tout comme le nombre très important de Polonais travaillant en Europe occidentale (pas seulement des plombiers, comme le veut l’image répandue en France), explique pourquoi la Pologne n’a aucune intention de quitter l’Europe.

    L'UE devrait faire le ménage à propos des ces pays réticents devant l'intégration européenne, Angleterre en tête qui représente avec ces pays de l'est un danger pour l ´avenir de la communauté européenne qui , sachons le ne sera possible qu´ avec la création d'un état fédéral , n'en déplaise aux souverainistes de tous poils.


    6 commentaires
  • Si tu es sage, tu auras droit à un beau cadeau … 

     


    votre commentaire
  •  Depuis près de quinze ans, un dossier d’infrastructures mobilise les grands élus aquitains, picto-charentais et midi-pyrénéens : la ligne à grande vitesse (LGV) reliant Bordeaux à Dax, d’un côté, et à Toulouse, de l’autre. L’enjeu de ces grands projets du Sud-Ouest (GPSO) est de taille : d’ici à 2027, 327 kilomètres de lignes nouvelles, 9,1 milliards d’euros d’investissements, 5,3 millions de voyageurs supplémentaires jusqu’à Toulouse et de nombreux territoires à traverser, dont certains fragiles, comme le Sauternais (Le Monde du 15 juin). Avec un horizon lointain pour leur réalisation : 2024 pour Bordeaux-Toulouse et 2027 pour Bordeaux-Dax dans les Landes, avant Hendaye.

    Il y a de quoi rire et vraiment très fort , au moment ou l’on libéralise le transport des passagers  par autocars sur nos autoroutes et nos routes on vient de sortir du chapeau des projets d’infrastructure longs termes,  de qui se moque t’on ? Les pouvoirs publics baignent dans des utopies les plus délirantes les unes que les autres , tout ça pour faire plaisir aux entreprises probablement chargées d’effectuer ces travaux avec cerise sur le gâteau attirer les électeurs lors des élections régionales, le pire est que nous n’en avons pas les moyens à moins que ce soit les régions qui financeraient ces travaux, à mon avis , ce n’est pas gagné.  

    Croyez vous que ce sera suffisant pour effacer la tentation du vote à Droite et à son extrême ? La ficelle est trop grosse et puis, personne n’est sur que ce projet sera réalisé, le risque de voir des actions comparables à celles en cours qui ralentissent les travaux de l’aéroport de Notre Dame des Landes ainsi que ceux du barrage de Sivens dont on vient de rappeler la mort d’un manifestant atteint d’une grenade ne sont pas  à exclure.

     


    3 commentaires
  • Le succès est de l’appliquer avec intelligence et humanité …

     


    1 commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires