• Oui, elles sont toujours pleines, les bennes à ordures. 


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  • En pleine fureur écologique , le maître mot est déjà lancé <gaspillage> , que c'est rassurant de sentir dans cette gabegie permanente qui assombrit notre quotidien une once de bon sens. Gaspillage , quel joli nom pour caractériser notre société basée sur les rentabilités financières autant qu'industrielles. Notre consommation effrénée de ressources naturelles pour satisfaire des besoins sans importance ou seulement pour permettre d'éviter des faillites et le chômage, les inutilités sont au rendez vous, elles passent par les utilisations abusives de la bagnole, par l'usage excessif de la lingette qui encombrent nos bennes à ordures en passant par les mises à jours payantes des grands de  l'informatiques bien plus préoccupés par le gains de leurs ventes que par les performances des versions ou des systèmes qu'ils vantent.  Gaspillage de la bouffe, cheval de bataille de la ministre de l'écologie n'est que le tout petit bout du problème , pour le résoudre, il faudrait TOUT revoir , quand on constate les difficultés que nous avons à accepter quelques réformes, nous ne sommes pas près à  connaître autre chose que le gaspillage qui reste aujourd'hui le fondement principal de nos activités économiques basées sur le déséquilibre entre l'offre et la demande, produire beaucoup pour baisser les couts, qu'importe si l'excédent va rejoindre la benne à ordures.

     


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  • C'est très éclairant finalement.


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  • Le Médef recommence à poursuivre ses affrontements contre les syndicats d’employés et d’ouvriers. Sans rougir , il a accepté avec réticences le pacte de responsabilité qui pour l'instant a permis aux entreprises de se partager 20 milliards d’Euros  soutirés aux ménages sans pour l'instant  créer d'emplois, de fait,  la faible croissance que nous connaissons n’est obtenue que par la baisse du prix du pétrole,  une situation connue du gouvernement qui une fois de plus s'est laissé avoir par des messages de droite à savoir libérer le patronnât des contraintes du code de travail, nouvelle exigence proférée par Mr Gattaz. Je sens venir la demande de ce même Mr Gattaz de la mise en place d’une politique de relance, des grands travaux ou plus de pouvoir d’achat des moins pauvres,  faut consommer pour produire . Quel bilan pour une gauche démoralisée et méconnaissable. A ce train là , la présidence risque de réunir que des partis de droite et d'extrême droite, la démocratie libérale n'est qu’ aux vues de la situation sociale qu'un mensonge , elle n'est qu'une droite libérale déguisée.


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  • Dire et faire ne suffisent pas, il faut surtout  faire bien. 

     


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